La NASH, cette nouvelle maladie que nous préparent les labos

La “maladie du soda”, ça parle mieux que la “stéatohépatite non alcoolique”. Mais c’est tout aussi fumeux!

On a appris l’existence de cette maladie lorsqu’elle a touché Pierre Ménès, célèbre journaliste footbalistique, qui on s’en doute depuis, buvait beaucoup de sodas …

La NASH est la forme la plus sévère de la surcharge du foie en lipides, la stéatose hépatique. Cette stéatose hépatique est très courante et elle accompagne des maladies comme le diabète ou le syndrôme métabolique. La cause est bien connue: malbouffe, grignotage, excés permanent de sucres, en particulier du fructose caché dans les plats industriels. De fait, cette stéatose touche la majorité des obèses.

Si l’inflammation du foie est absente ou minime dans la banale stéatose hépatique, en cas de NASH, une inflammation chronique plus importante peut conduire à la cirrhose, c’est à dire à la destruction du foie.

Ce schéma passe actuellement en boucle dans les médias américains.

Pourtant, en France tout du moins, si la stéatose hépatique est banale, les décès liés à une cirrhose consécutive à une NASH sont si rares qu’ils ne sont pas individualisés dans les causes de décès recensées par l’INSERM.

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les “tabacologues” sont des “nicotinologues”

Miser sur la seule nicotine pour sevrer les addicts, c’est oublier qu’une plante est un assemblage de dizaines de principes qui agissent ensemble. Et c’est encore valable pour le cannabis, dont la médecine ne retient que le CBD.

A ma gauche, la cigarette, + de 100 composés végétaux plus les saletés des fabricants… à ma droite, les tablettes de nicotine.

La controverse actuelle sur l’efficacité des substituts nicotiniques constitue un excellent exemple des limites de la phytothérapie monomoléculaire.

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L’hormèse, cette fabuleuse capacité de l’organisme à l’auto-guérison (2)

Jusqu’où pousser le stress pour fortifier l’organisme?

Série de trois articles:

Article précédent: l’hormésis, qu’est ce que c’est ?

l’hormèse, comment ça marche ?

Nous avons évoqué quelques exemples historiques d’actions biologiques qui ne sont pas anodines, puisque utilisant des substances toutes pathogènes. Mais à petites doses et selon des protocoles différents (de la dose vaccinale unique, type fièvre jaune, aux prises répétitives et croissantes de la désensibilisation), on va solliciter l’organisme dans sa capacité naturelle d’autorégulation.

La chaleur, le froid, des mini stress physiques très efficaces

Celle-ci repose sur des effecteurs très différents, depuis les lymphocytes du système immunitaire, jusqu’aux systèmes régulateurs de l’excrétion, de la circulation, ou de l’expression hormonale… en gros, l’organisme fonctionne selon divers schémas très complexes, qui sont coordonnés pour conserver un équilibre physiologique: c’est l’homéostasie.

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Chloroquine, régimes cétogène: les militaires sont de petits cachotiers …

Les conflits (et nous sommes en guerre !) ont toujours fait progresser la médecine… souvent via des voies bien obscures.

Et l’on apprend que la Pharmacie centrale des Armées se fait livrer en catimini 70 kilos de phosphate de chloroquine, un composé facilement transformé en hydoxychloroquine injectable … Info délivrée par Médiapart, confirmée par Libération … le secret est éventé.

Par ailleurs, il apparaît que la Marine américaine a mis en route des essais de “diététique” sur les plongeurs de combat: une “grande nouveauté”, le régime kétogène, jugé dangereux par les instances médicales, mais qui permet aux plongeurs de gagner 40% en performances lors des essais déjà réalisés.

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L’hormèse (ou hormésis), cette fabuleuse capacité de l’organisme à l’auto-guérison (1)

Jusqu’où pousser le stress pour fortifier l’organisme?

Série de trois articles:

Premier article , l’hormésis, qu’est ce que c’est ?

Schéma bodyssime.com

Le phénomène est connu depuis des siècles: des agressions de faible intensité (chaleur, froid, douleur, jeûne, dessication, etc …) peuvent provoquer des effets bénéfiques sur notre organisme, en induisant une réaction de surcompensation après une phase de déséquilibre.

Des études récentes sur les végétaux, les drosophiles ou les rongeurs viennent corroborer les observations séculaires nous concernant. Mais ces effets seront très différents selon l’intensité, la durée du stress provoqué, ainsi que selon l’âge du sujet.

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Tiens! Voilà qu’on reparle de la nicotine médicale !

Au niveau des données purement statistiques, le fumeurs sont nettement moins sensibles au Covid que la moyenne. Trois ou jusqu’à cinq fois moins!

Et tout le monde s’emballe sur la nicotine, molécule maudite par les instances de santé. Récepteurs nicotiniques ? Les fabricants de patches se frottent déjà les mains, mais de fait, on n’en sait rien de rien. Peut-être tout bêtement que les poumons de fumeurs, agressés en permanence par les goudrons (et Cie) du tabac, ont une résistance supérieure, en particulier aux bactéries qui font exploser la maladie? Action régulatrice de l’immunité? Encore autre chose?

Revenons sur la nicotine.

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L’épidémie: il faut sans doute tout revoir.

Virus, oui, implication bactérienne, oui aussi, mais le vrai problème dans les cas dramatiques, c’est l’énorme difficulté aux globules rouges de capter et de transporter l’oxygène. Et ça, c’est un problème qui échappe aux virologistes, c’est un problème de métabolisme cellulaire … qui à bien des égards, se rapproche de la pathogénie du paludisme …

Alors, il faut changer de lunettes et s’atteller à un autre problème … sans doute le VRAI problème …

Ce sont des urgentistes “tous terrains”, en particuliers des médecins qui ont écumé la planète lors de missions, qui ont connu toutes les , pathologies infectieuses, parasitaires, de catastrophes, dans des milieux très différents, et qui ont sonné l’alarme: “ces patients sont comme les passagers d’un avion brutalement dépressurisé: il leur manque de l’oxygène dans tout l’organisme et ils étouffent.

De fait le virus s’attaque aux globules rouges, dont il modifie les caractéristiques de la molécule principale: l’hémoglobine au niveau de son noyau central: l’hème.

L’hème est une protéine qui possède en son centre un atome de fer, et c’est ce fer qui attire et qui retient les molécules d’oxygène dans le sang et dans tous les tissus, où inversement, il va capter le CO2 pour l’emmener pour son élimination jusqu’aux poumons.

Le Covid 19 agit sur ce noyau hème (et comment?), avec pour effets de chasser l’atome de fer qui se trouve libéré, alors que le globule rouge perd alors ses capacités de transporter l’oxygène.

Double peine pour le malade: il est en hypoxie dramatique (et là, il “suffirait” de le placer en oxygénation hyperbarre), mais ce fer libéré est ravageur: c’est un oxydant toxique qui brûle littéralement les tissus adjacents, le plus souvent au niveau pulmonaire.

Certains bactéries, jusque là anodines, profitent de cet ouragan inflammatoire et se développent rapidement. C’est alors tout l’intérêt des antibiotiques de type azythromycine (mais il en a plusieurs dans cette catégorie)

Mais c’est aussi une manière de comprendre l’intérêt de l’hydrochloroquine, un médicament majeur contre le paludisme. Et c’est quoi le paludisme ? Une maladie des globules rouges où le parasite plasmodium se développe en détruisant l’hémoglobine. Et l’hydrochloroquine, en abaissant le pH cellulaire (tout comme le bleu de méthylène), bloque le développement du parasite.

Soigner en amont les prémisses de la maladie, c’est la moindre des choses, et c’est le protocole marseillais qui est bridé par ailleurs (sauf par une myriade de médecins de ville ou de clinique, qui prennent sur eux et soignent au mieux).

Arriver à juguler l’inflammation, ce serait le rôle des interférons béta (essais en cours), mais aussi de molécules “de base”comme les cortyicoïdes, qu’on a décriées dès le début de l’épidémie comme étant facilitatrices pour l’infection.

Tout dépend du stade de la maladie , mais ces médicastres de salons (tiens, ce serait bon de ressortir certains textes de Molière) ne voient que le virus, avec le graal du vaccin comme la future victoire du système médical.

En attendant, tout l’effort de recherche est dirigé dans ce qui semble être de fausses pistes.

Bien sûr, chaque jour apporte de nouveaux savoirs, de nouveaux espoirs. Dans ce blog, nous restons vigilants, merci de nous suivre régulièrement.

Jean-Yves Gauchet

Douleurs: soigner le corps physique, ou bien son champ éthérique ?

Derrière le corps physique, un champ impalpable mais déterminant

En embryologie, les chercheurs sont désormais obligés d’admettre que l’embryon possède un “plan d’assemblage”, en dehors de son ADN (mais que sait capter son ADN, qui sert à la fois d’antenne et de commande), et que cette capacité d’organisation se retrouve en cours de croissance, dans le domaine de la cicatrisation ou de la régénération des tissus, voire des organes.

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Apithérapie: savoir contrôler le venin…

En apithérapie (soins avec les produits de la ruche …), les actions de soin les plus puissantes sont obtenues avec le venin d’abeille, qui contient selon la saison, l’essaim, le type d’abeille, des molécules très actives et même dans certaines conditions, extrêmement dangereuses.

Saisir l’abeille sans l’écraser et l’amener doucement vers la zone cutanée à traiter

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Traitements du cancer: écoutons les évolutionnistes

Le Dr Gatenby est un radiologiste un peu hors normes, qui a publié dans Nature un papier provocateur, à la suite de recherches statistiques qu’il détaille dans cette parution. Le principe qui sort en conclusion, est que les efforts thérapeutiques qu’on fait actuellement sur les cancéreux pour éliminer les tumeurs ( comprendre chimios et radiothérapies), ne permettent de gagner que des victoires à la Pyrrhus : ces traitements en effet permettent en permanence la  sélection des cellules les moins sensibles, car contrairement aux anti-infectieux par exemple, on ne peut pas utiliser la dose maximale, celle qui va tuer TOUTES les cellules cancéreuses : il faut protéger les cellules saines. Et donc laisser forcément s épanouir en quelques semaines les cellules résistantes, celles contre lesquelles on ne sait plus lutter… mais au sein d’un organisme blessé, dénutri, avec des tissus enflammés qui peuvent eux mêmes cancériser …

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