Conçu non pas pour les petites réfections, mais pour des programmes d’architectes et de promoteurs (des centaines de m2), ce robot place les plaques et assure peintures et finitions. Vite et bien.
Développé en Californie par la société Canvas, sur la base d’un chariot guidé et d’un bras de robot conventionnel, il ne manquait plus à cet engin qu’un logiciel adapté pour devenir un peintre-plaquiste à fort rendement.
Canvas jusqu’ici développait un savoir-faire avec pour clients l’armée ou des compagnies aériennes. Si l’engin est automatisé pour “bien travailler”, Canvas estime qu’il faut la laisser uniquement à des peintres professionnels qui sauront l’améliorer et l’utiliser au mieux …