Oui, l’antibiothérapie était indispensable lors du “covid dur”de 2020/2021

L’incroyable interdiction par les responsables de santé, de prescrire modulateurs immunitaires et antibiotiques, a constitué une erreur funeste pour des milliers de malades. On démontre maintenant que les intuitions des “vrais soignants” avaient toute leur valeur.

Dans le monde entier, les médecins qui ont utilisé en ambulatoire précoce (dans les cinq premiers jours suivant l’apparition des premiers symptômes) une molécule d’antibiotique comme l’azythromycine (macrolide) ou la doxycline (cycline) ont constaté une chute drastique de la létalité : 0,1% comparée aux 2,3% des patients laissés sous Doliprane. La comparaison des courbes de mortalité et de circulation du virus, en 2020, présente un fort décrochage de la mortalité jusqu’à ce que les autorités de santé interdisent l’hydroxychloroquine aux médecins de ville, tout en préconisant de ne pas traiter aux antibiotiques : étonnant !

Inversement, toute autre antibiothérapie, notamment celle à large spectre (amoxyciline) , destinée à la prévention des surinfections (qui ne se manifestent que si l’antibiotique adapté n’a pas été prescrit en ambulatoire précoce), ne pourra être que contreproductive  en altérant le microbiote intestinal et, donc, en favorisant l’inflammation, le risque de diarrhées mortelles à Clostridium difficile et, surtout, en permettant la translocation des bactéries résistantes aux antibiotiques de la sphère digestive vers le sang du patient avec des bactériémies mortelles.

Ces molécules d’antibiotiques « efficaces » sont connues pour être actives sur les germes suspects de « coopérer » avec le virus (mycoplasmes, intracellulaires, germes de parodontites), dont la population augmente lors de dysbioses locales : pulmonaires, buccales ou digestives. Ces germes « coopérants » sont tous colonisés par le virus dès l’incubation de la coronavirose.

Le coronavirus infecte (flèches rouges) les bactériens sans parois , essentiellement les “gram-” des bronches et du système digestif.

 Le SRAS-CoV-2 a deux mécanismes d’action ; il infecte à la fois la cellule eucaryote, comme le rapporte la littérature actuelle, mais il infecte également la flore bactérienne humaine (deux bactéries sont déjà identifiées). En éliminant spécifiquement ces bactéries infectées, les antibiotiques précités jouent un rôle majeur dans le processus infectieux.

Une preuve évidente de cette infection via les bactéries intestinales: on trouvait dans les eaux des égoûts une “charge virale” que par exemple les pompiers de Marseille utilisaient pour suivre le développement de l’épidémie, mais aussi pour décrire les variants et anticiper la suite de l’épidémie.

Il y a bien des doléances en suspens avec deux ans de recul. Le constat est très sévère pour les médecins de cour qui ont accaparé les manettes du Pays pendant deux ans. Le Système se fait désormais très discret, mais le mal est fait pour très longtemps. La production continue par l’ARN vagabond de protéines spike éminemment toxiques chez des millions de vaccinés se retrouve dans tous les organes, et jusqu’au lait maternel.

Pour revenir sur les alertes de ce blog au cours de la pandémie, les billets ne manquent pas …

Jean-Yves Gauchet

Source: pgibertie.com