Le lin, cet oublié de nos cultures.

Les travaux de Pierre Weill démontrent de manière absolue qu’incorporer du lin dans nos cultures, et de même dans l’alimentation du bétail, représente une capacité évidente de tréserver nos sols, d’améliorer la santé et les productions animales, et enfin d’agir sur nos pathologies chroniques. En terme de néo-économie, on peut parler de win-win-win.

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Quand les chats améliorent la qualité de vie au sein des Ehpad

En France, depuis peu, les établissements et les services accueillant des personnes âgées doivent garantir leur droit d’accueillir leur animal de compagnie. Mais quel est leur impact au quotidien pour la vie des résidents et le travail des soignants ?

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L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (8)

Système parasympathique, nerf vague et substances amères.

Que vient faire cette particularité nerveuse dans cet ouvrage sur les molécules amères ? De fait, les chercheurs en neurologie et les diététiciens fonctionnent dans des mondes séparés. Hé bien dans cet article, nous allons réunir leurs savoirs …

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L’action électrostatique explique bien des phénomènes biologiques.

Un exemple: l’abeille butineuse ne fait que frôler le calice d’une fleur bien offerte: les grains de pollen vont se détacher sponatément pour rejoindre l’insecte, par simple effet électrostatique. Explications.

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L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (4)

La longue histoire des récepteurs de goût; ou là encore, la fonction crée l’organe … L’organisme s’adapte en permanence à ses besoins. Par voie génique ou épigénétique…

Le chat est un carnivore strict, il n’a aucun besoin d”évaluer le taux de sucres de ses aliments. De ce fait, il n’a quasiment pas de récepteurs du sucré….

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L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (2)

La perception du goût: olfaction rétro-nasale, puis gustation via la langue et le pharynx, avec des efférences nerveuses différentes.

Les produits volatiles odorants sont inhalés par les narines (flairage) ou par voie rétro-nasale (flèche rouge) avec perception par l’épithélium olfactif et information directe vers l’hypothalamus. Les molécules sapides (goûteuses) sont contrôlées par les papilles du goût de la langue et du palais, avec projection nerveuse via les nerfs vague et glosso-pharyngien.

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