Alors que les solutions d’énergie renouvelable continuent de gagner du terrain, l’énergie éolienne s’impose comme un acteur clé du marché résidentiel, rivalisant avec la popularité de l’énergie solaire. Les innovations se succèdent, en voici un exemple.
Désormais, l’électricité, surtout solaire, est en surcapacité non stockable pendant le jour Pourquoi continuer à privilégier la consommation nocturne ?
Cette saveur amère, peu appréciée spontanément, est un signal d’alerte pour l’organisme, en bouche bien sûr, mais également dans tout le corps où des récepteurs spécifiques détectent les molécules amères, et mettent en route des réactions de défense et de modulation immunitaire. Une saveur qui protège notre santé !
Depuis quelques années, les laboratoires de recherche se passionnent pour les substances amères (des centaines de molécules, essentiellement issues de plantes), leur place dans la phylogénie des végétaux, leur rôle dans la co-évolution plantes/animaux, dans notre propre historique alimentaire, enfin dans les effets bénéfiques qu’on peut en attendre.
C’est passionnant et prometteur. Je vous promets une quinzaine de billets sur ce sujet. Bienvenue dans les prémices de l’amérothérapie.
Avec le progrès, on note une incroyable augmentation de l’efficacité de pêche que les gestionnaires ont du mal à contrôler et qui s’est soldé par ce qui est appelé la surpêche.
Rhinites, conjonctivites, voire crises d’asthme… Le pollen de l’ambroisie à feuilles d’armoise – dont le pic de libération se situe généralement à la mi-août – est hautement allergisant, et provoque des symptômes souvent aigus. Et l’évolution climatique ne va rien arranger.
Malgré des ressources nutritives globalement limitées, la surface des océans est peuplée d’une diversité incroyable de microorganismes pourtant a priori en compétition. C’est le paradoxe du plancton
Depuis plusieurs années, en réponse à une demande croissante des consommateurs, les produits vendus en vrac ont conquis les rayons des magasins. C’est le cas, par exemple, de certains aliments (fruits secs, céréales) mais également des produits d’hygiène (shampoings, savons), d’entretien (lessive, nettoyant ménager) ou des aliments destinés aux animaux (friandises à mâcher, croquettes).
Les oiseaux marins sont fortement exposés aux polluants organiques persistants (POPs) via leur alimentation et les stockent dans leurs tissus. Lors des phases de jeûne, ces polluants peuvent être remobilisés dans le sang, pouvant ainsi provoquer des effets toxiques.