En apithérapie (soins avec les produits de la ruche …), les actions de soin les plus puissantes sont obtenues avec le venin d’abeille, qui contient selon la saison, l’essaim, le type d’abeille, des molécules très actives et même dans certaines conditions, extrêmement dangereuses.
Le Dr Gatenby est un radiologiste un peu hors normes, qui a publié dans Nature un papier provocateur, à la suite de recherches statistiques qu’il détaille dans cette parution. Le principe qui sort en conclusion, est que les efforts thérapeutiques qu’on fait actuellement sur les cancéreux pour éliminer les tumeurs ( comprendre chimios et radiothérapies), ne permettent de gagner que des victoires à la Pyrrhus : ces traitements en effet permettent en permanence la sélection des cellules les moins sensibles, car contrairement aux anti-infectieux par exemple, on ne peut pas utiliser la dose maximale, celle qui va tuer TOUTES les cellules cancéreuses : il faut protéger les cellules saines. Et donc laisser forcément s épanouir en quelques semaines les cellules résistantes, celles contre lesquelles on ne sait plus lutter… mais au sein d’un organisme blessé, dénutri, avec des tissus enflammés qui peuvent eux mêmes cancériser …
C’est une pratique courante, en particulier lors de soins
aux enfants, un peu rebelles aux remèdes, ou aux personnes âgées qui manquent
de salive pour déglutir : alors on « déconditionne » les pilules
en les écrasant, les gélules en les ouvrant, la poudre médicamenteuse étant
alors mélangée à l’aliment.
Une étude du CHU de Rouen fait apparaître que cette pratique entraine une inefficacité pharmacologique dans 40% des cas.
Devant l’incurie des “sachants”concernant notre épidémie, de multiples initiatives se font jour, lancées par des individus eux-mêmes sachants, mais complètement intégrés aux réalités cliniques. Et qui font apparaître des savoirs oubliés, ou encore qui font des trouvailles qui font réfléchir.
C’est le cas d’un vieux remède, le bleu de méthylène. On l’utilise encore comme désinfectant urinaire, ou en aquariophilie contre les infections cutanées des poissons. C’est aussi un médicament d’urgence pour certaines intoxications.
Ce travail de compilation très sérieux a été réalisé par une équipe de rédaction de la revue Journal of virus eradication
Ils ont fait apparaître, à partir des catalogues commerciaux des différents sous-traitants indiens, les prix de revient des différents anti-viraux actuellement testés contre le Covid-19.
Comme on le voit sur ce tableau, même les molécules réputées onéreuses, utilisées actuellement contre le Sida ou les hépatites, même ces molécules ont un prix de revient très modeste, que ce soit (colonne de droite) pour le coût journalier, ou (colonne de gauche) pour le coût total d’un traitement.
Où va la différence ? Ci-dessous un exemple de disparités… et donc de bénéfices selon les pays acheteurs.
Prenons la Guyane, le seul département français où cette vaccination BCG est obligatoire: c’est actuellement le moins touché, et en nombre de cas, et en nombre de décès.
Prenons le cas de l’Allemagne: à l’est, historiquement (la RDA), on a systématiquement vacciné ceux qui sont actuellement séniors. C’est actuellement la partie de l’Allemagne la moins touchée, et en cas, et en nombre de décès.
Les chiffres sont là, et on peut comparer des populations nombreuses, très nombreuses, vaccinées versus des populations non vaccinées, donc l’équivalent de placebos.
Ce vaccin a eu un effet protecteur pour le Covid. Au bout de combien de temps ? Sur quelles types de populations ?
Depuis le spin du photon jusqu’aux tsunamis galactiques, on
sait que la matière est un concentré d’énergie vibratoire, et bien sûr l’Homme
ne fait pas exception.
Notre vocabulaire en fait foi : « ça me fait vibrer », ou bien « je sens comme un frémissement »,
ou également « il a encore ses
palpitations »… C’est du
langage courant !
Les ostéopathes, qui poussent le ressenti corporel à son plus haut degré, nous manipulent selon des séquences qui peuvent évoquer l’univers musical. Avec un instrument emblématique: la guitare !
Les ostéopathes décrivent et agissent sur cette force de
traction médullaire (FTM) qui relie dans une même tension des organes que la
médecine traditionnelle traite séparément.
Si vous vous approchez de coureurs
à l’arrivée d’un marathon ou d’un critérium cycliste, vous sentirez toujours la
même odeur, agréable pour certains, beaucoup moins pour d’autres (cette
« odeur de dentiste » due à l’huile de girofle), celle du
« baume du tigre ». En petits pots de verre, ou bien en tubes souples
plus facile à appliquer, ce vieux remède est dans le monde entier, toujours
présent pour calmer des douleurs musculaires. Un concurrent du doliprane ou du
nurofen ?
Une hirondelle ne fait pas le printemps. Mais quand elle est attendue
par des millions, la moindre des choses serait de l’observer et de la protéger
…
L’hirondelle, c’est cette série d’expériences d’un médecin américain,
le Dr Valter Longo, prof de gérontologie en Californie, et qui vient d’en
publier les résultats dans “Science Translational Medecine”.
L’idée, c’est de vérifier l’argument des “naturalistes” , selon lesquels un organisme qui vient de subir une épreuve, est mieux armé pour en subir une autre, même plus violente.
La peau des mammifères, y compris la
nôtre, contient de nombreux récepteurs sensoriels qui leur procure une capacité à percevoir
toutes sortes d’informations d’origine externe,
mécaniques (caresse, contact, pression, choc), thermiques (froid,
chaleur), chimiques (acidité) ou vibratoires,
mais aussi d’origine interne (étirements du pelage, tension des muscles
cutanés).
Ces récepteurs sont des dendrites
(extrémités de neurones) modifiées pour percevoir un certain type
d’information, grâce à une adaptation locale (capsules de différents modèles)
du tissu conjonctif du derme.