Dans le bois, les molécules d’eau liée, localisées dans les parois des cellules, peuvent se déplacer jusqu’à de grandes hauteurs pour éventuellement humidifier les feuilles de la canopée. Ce phénomène intervient aussi dans la régulation de l’humidité dans les bâtiments utilisant des matériaux biosourcés, ou encore dans les processus de séchage du bois.
Les populations marines ne connaissent pas de frontières. Tous les océans et toutes les mers du monde sont connectées, permettant la libre circulation des animaux marins. Pour les états possédant des zones maritimes, ce n’est pas pareil …
La fable de la naissance de Moïse et son abandon dans un panier sur les flots du Nil possède en effet plusieurs précédents et parallèles notables dans différentes mythologies du monde antique.
Les effets d’un manque d’eau sont ressentis par chaque cellule du corps, mais c’est le cerveau qui manifeste à tout moment notre besoin d’hydratation.
Les chameaux ne ressentent pas la soif de la même manière que nous : ils brûlent leurs réserves de graisse ou puisent des litres d’eau dans leur estomac lorsqu’ils ont besoin d’eau.Continuer la lecture de Que signifie “avoir soif” ?
Quand on parle de réchauffement climatique, on pense souvent à l’air qui se réchauffe. Mais c’est l’océan qui, grâce aux courants marins et aux propriétés exceptionnelles de l’eau, a jusqu’à présent absorbé frontalement une grande partie du réchauffement.
Le cerveau est l’organe le plus actif du corps, le mieux nourri, donc qui produit le plus de déchets métaboliques. Comment se débarrasse t’il de ces déchets toxiques ?
La longue histoire des récepteurs de goût; ou là encore, la fonction crée l’organe … L’organisme s’adapte en permanence à ses besoins. Par voie génique ou épigénétique…
Le chat est un carnivore strict, il n’a aucun besoin d”évaluer le taux de sucres de ses aliments. De ce fait, il n’a quasiment pas de récepteurs du sucré….
Malgré des ressources nutritives globalement limitées, la surface des océans est peuplée d’une diversité incroyable de microorganismes pourtant a priori en compétition. C’est le paradoxe du plancton