Quand je vois la mention « no bacter », mes poils se hérissent. Pourquoi tant de haine … Pourquoi stériliser à tout prix un environnement naturel où justement la biodiversité est un gage de santé ? Allons faire un tour au plus profond de nous, à la rencontre de nos hôtes mal aimés …
Bactéries cutanées autour d’un pore de glande sudoripare.
Pourquoi “mauvaises herbes”? Ces coquelicots, bleuets et tant d’autres, ont été matraqués depuis un siècle pour éviter le sarclage et augmenter les rendements. Hé bien c’était une erreur: une diversité de plantes favorise le bon fonctionnement des écosystèmes avec une grande économie de moyens…
Encore une exclusivité australienne, cet oiseau de belle taille offre quelques particularités qu’on va ici détailler.
Sorte de mini autruche au long cou et à la tête bleuâtre, l’émeu s’est considérablement développé en Australie, jusqu’à des bandes de plusieurs centaines … Difficile, très difficile à les cadrer, même l’armée australienne y a renoncé…
Les nuisances dues aux éoliennes? Leur intrusion dans les paysages, leurs émissions électromagnétiques, leur bruit, leur obsolescence rapide, leur production énergétique aléatoire … et leur danger réel pour les oiseaux de passage et les rapaces locaux. Et pourtant, ile existe une solution toute simple pour alerter les oiseaux et les préserver.
C’est vraiment triste d’en arriver là, mais des zones entières gorgées de pesticides sont devenues des déserts d’insectes, en particulier d’abeilles. On cherche par divers moyens techniques à pouvoir polliniser les fruitiers. Ici, la technique drone+bulles de savon.
Au microscope optique, on voit les spermatozoïdes avancer par un frétillement de leur flagelle. En fait, comme au cinéma, on ne voit qu’une partie de leurs mouvements: avec une caméra ultra rapide, on voit apparaître un tout autre modèle de propulsion, qui ressemble à la godille de nos embarcations.
Ce schéma du “forcing d’arrivée” type tour de France n’est pas vraiment exact.
C’est un biochimiste reconnu, Illya Prigorine, qui nous a montré que le monde vivant reposait sur des systèmes fonctionnels oscillants entre des positions antagonistes. Pas d’antagonisme, pas de fonction, alors pas de vivant. Et vive l’auto-organisation.
Exemple un peu forcé: la respiration.
Elle oscille entre l’inspiration spontanée, nourricière, yin … et l’expiration
forcée, dépensière, yang … Notre vie tient à ce va-et-vient, qui peut varier
selon de nombreux facteurs qui tiennent à l’émotion, à une inflammation d’allergie,
ou à un noyau de pêche coincé dans la trachée …
Avec les hadrons, c’est à dire les particules “lourdes”, on entre de plain pied dans la matière. Certes, les neutrons comme les protons sont constitués eux aussi de vibrations, mais sous une forme organisée (les fameux quarks) qui les font apparaître matériellement.
Ces deux
particules ont une sympathie naturelle l’une pour l’autre, et elles
s’agglomèrent ensemble pour former le noyau des atomes. Selon un équilibre qui
veut que pour un atome donné, le nombre de neutrons et celui des protons soit
sensiblement le même.
Vous connaissez
l’allure d’une pirogue à balancier des mers du sud ?