Les fruits de culture intensive nécessitent des traitements coûteux et malsains. Pourquoi ne pas réintroduire des pratiques naturelles qui ont fait leurs preuves ?
Au XIXème siècle, l’expansion des chemins de fer a permis de faire « monter » du sud vers Paris des fruits en grandes quantités, des fruits mûris précocement et naturellement.
Ces fruits étaient produits depuis deux siècles avec des méthodes sans cesse améliorées, profitant au maximum des rayons solaires en plaçant les végétaux tout contre des murs bien exposés, qui gardaient la chaleur le jour pour la restituer la nuit.
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