Une enquête sérieuse, mais qui ne débouche que sur des apitoiements de type “c’est pas moi c’est l’autre”. Les dirigeants de tous niveaux en sortent excusés par les failles du système médical. Brouillard sur l’incurie des tests, sur l’impasse aux soins, sur l’emprise des CHU et des agences, sur les évidents conflits d’intérêts labos-conseillers-décideurs.
L’organisme possède un système mémoire pour se protéger à long terme des intrus (bactéries, virus) qu’il juge dangereux. Ce sont les lymphocytes mémoire. Mais quand cette mémoire devient une idée fixe, le système immunitaire ne joue plus son rôle. Et c’est là la malédiction des vaccins.
A de multiples occasions (grèves des médecins, confinements de populations), on a pu constater qu’en parallèle avec la diminution des soins médicaux, se produisait une importante baisse de la mortalité des populations concernées. Doit-on en conclure que la médecine actuelle est mortifère ? Pas si simple …
Jusqu’où pousser le stress pour fortifier l’organisme?
Série de trois articles:
Premier article , l’hormésis, qu’est ce que c’est ?
Schéma bodyssime.com
Le
phénomène est connu depuis des siècles: des agressions de faible intensité
(chaleur, froid, douleur, jeûne, dessication, etc …) peuvent provoquer des
effets bénéfiques sur notre organisme, en induisant une réaction de
surcompensation après une phase de déséquilibre.
Des
études récentes sur les végétaux, les drosophiles ou les rongeurs viennent
corroborer les observations séculaires nous concernant. Mais ces effets seront
très différents selon l’intensité, la durée du stress provoqué, ainsi que selon
l’âge du sujet.