C’est un constat ancien , purement empirique, qui se transforme actuellement en tendance hospitalière : le simple fait de remplacer les poignées de porte en plastique ou inox, par des poignées de cuivre, fait chuter de 50% les surinfections de malades dans les services ainsi équipés.
Dans la ruche, se mélangent les senteurs et flaveurs des différentes substances produites ou apportées par les abeilles: propolis, nectars, pollens, huiles essentielles diverses. Un cocktail thérapeutique très puissant.
Ces molécules sont actives dans les différents protocoles d’apithérapie, qu’on peut pratiquer toute l’année puisque elles sont intégrées dans une base de miel.
Un phénomène naturel qu’on peut contrôler par une diététique simple et peu contraignante
On appelle très doctement sarcopénie cette fonte musculaire
des seniors, au cours d’un processus qui s’emballe, mais qu’on pourrait
corriger, mais il faudrait alors modifier tous les principes diététiques actuellement
appliqués, par incompétence, négligence ou parcimonie.
La “maladie du soda”, ça parle mieux que la “stéatohépatite non alcoolique”. Mais c’est tout aussi fumeux!
On a appris l’existence de cette maladie lorsqu’elle a touché Pierre Ménès, célèbre journaliste footbalistique, qui on s’en doute depuis, buvait beaucoup de sodas …
La NASH est la forme la plus sévère de la surcharge du foie en lipides, la stéatose hépatique. Cette stéatose hépatique est très courante et elle accompagne des maladies comme le diabète ou le syndrôme métabolique. La cause est bien connue: malbouffe, grignotage, excés permanent de sucres, en particulier du fructose caché dans les plats industriels. De fait, cette stéatose touche la majorité des obèses.
Si l’inflammation du foie est absente ou minime dans la banale stéatose hépatique, en cas de NASH, une inflammation chronique plus importante peut conduire à la cirrhose, c’est à dire à la destruction du foie.
Pourtant, en France tout du moins, si la stéatose hépatique est banale, les décès liés à une cirrhose consécutive à une NASH sont si rares qu’ils ne sont pas individualisés dans les causes de décès recensées par l’INSERM.
Miser sur la seule nicotine pour sevrer les addicts, c’est oublier qu’une plante est un assemblage de dizaines de principes qui agissent ensemble. Et c’est encore valable pour le cannabis, dont la médecine ne retient que le CBD.
La controverse actuelle sur l’efficacité des substituts
nicotiniques constitue un excellent exemple des limites de la phytothérapie
monomoléculaire.
Nous avons évoqué quelques exemples historiques d’actions biologiques qui ne sont pas anodines, puisque utilisant des substances toutes pathogènes. Mais à petites doses et selon des protocoles différents (de la dose vaccinale unique, type fièvre jaune, aux prises répétitives et croissantes de la désensibilisation), on va solliciter l’organisme dans sa capacité naturelle d’autorégulation.
Celle-ci repose sur des effecteurs très différents, depuis les lymphocytes du système immunitaire, jusqu’aux systèmes régulateurs de l’excrétion, de la circulation, ou de l’expression hormonale… en gros, l’organisme fonctionne selon divers schémas très complexes, qui sont coordonnés pour conserver un équilibre physiologique: c’est l’homéostasie.
Par ailleurs, il apparaît que la Marine américaine a mis en route des essais de “diététique” sur les plongeurs de combat: une “grande nouveauté”, le régime kétogène, jugé dangereux par les instances médicales, mais qui permet aux plongeurs de gagner 40% en performances lors des essais déjà réalisés.
Jusqu’où pousser le stress pour fortifier l’organisme?
Série de trois articles:
Premier article , l’hormésis, qu’est ce que c’est ?
Le
phénomène est connu depuis des siècles: des agressions de faible intensité
(chaleur, froid, douleur, jeûne, dessication, etc …) peuvent provoquer des
effets bénéfiques sur notre organisme, en induisant une réaction de
surcompensation après une phase de déséquilibre.
Des
études récentes sur les végétaux, les drosophiles ou les rongeurs viennent
corroborer les observations séculaires nous concernant. Mais ces effets seront
très différents selon l’intensité, la durée du stress provoqué, ainsi que selon
l’âge du sujet.
On pourra toujours séparer les convives, étaler les horaires, le risque majeur de contamination dans les lieux publics reste bien celui de la climatisation
Une étude chinoise bien documentée en montre le processus.