En embryologie, les chercheurs sont désormais obligés d’admettre que l’embryon possède un “plan d’assemblage”, en dehors de son ADN (mais que sait capter son ADN, qui sert à la fois d’antenne et de commande), et que cette capacité d’organisation se retrouve en cours de croissance, dans le domaine de la cicatrisation ou de la régénération des tissus, voire des organes.
Pour la médecine conventionnelle, la douleur est purement attachée à des phénomènes moléculaires , qu’ils soient physiques (avec lésion correspondante) ou psychiques (avec néanmoins des marqueurs moléculaires).
Mais en médecine “énergétique”, il faut tenir compte de la partie éthérique de l’organisme, qui ne nous apparaît pas puisque l’évolution en a voulu autrement …
De même que nous ne percevons pas les sons au dessous de 20 hertz, ou la lumière au delà du violet, nous sommes incapables (sauf exceptions d’individus dits “sensibles”) d’appréhender un autre constituant de nous-mêmes, ce champ éthérique qui soutient et dirige notre corps physique, moléculaire, disons le mot: “normal”.
Le champ éthérique ne serait pas propre à l’individu, mais partagé avec sa fratrie, et ses prédecesseurs familiaux. Un tel champ est une portion locale d’espace dans laquelle agissent des forces ayant un rôle à jouer dans l’organisation et la structure des formes qui se font jour. Un tel champ comprend généralement une densité physique d’énergie et un pouvoir d’organisation des formes, une information, qui chevauche cette densité d’énergie. L’aspect magnétique du champ, avec son pouvoir organisateur des mouvements des électrons, donne une image du pouvoir d’organisation morphogénétique du champ propre.
Il est à souligner est que corps physique et champ éthérique sont très intimement liés. Sans le champ éthérique, le corps physique n’existerait pas, de même que sans plan il est impossible de construire une horloge. Et inversement, sans le corps physique, le champ éthérique ne sert à rien, de même que le plan de l’horloge ne permet pas d’avoir l’heure.
La conséquence est que toute atteinte de l’un se répercute sur l’autre. Par exemple une blessure physique se traduit immédiatement par une blessure de l’éthérique, visible par exemple dans la persistance d’une cicatrice (alors que, rappelons-le, les cellules se renouvellent continuellement), ou dans la douleur d’un membre fantôme chez un amputé. Inversement, des blessures de l’éthérique retentissent obligatoirement sur le physique. Ainsi observe-t-on fréquemment chez des jumeaux que lorsque l’un est blessé, l’autre ressent la même chose du fait qu’ils partagent assez largement leurs champs éthériques.
Pour construire une horloge, il faut un plan. Ensuite elle fonctionne sans qu’il soit plus besoin de s’y référer. Sauf épisodiquement lorsqu’elle tombe en panne. Le plan est alors à nouveau nécessaire pour la réparer. Certaines parties du corps fonctionnent un peu comme cela. C’est ce qui fait qu’un homme peut vivre avec un pacemaker ou avec un rein greffé. Mais dans le monde vivant, cet aspect très mécanique est limité du fait que les corps se reconstruisent en permanence. Le plan est donc toujours nécessaire. Autrement dit, le corps physique est toujours soumis aux influences de l’éthérique.
C’est par ce biais que se développent les maladies psychosomatiques, c’est-à-dire en dernière analyse presque toutes les maladies, parce que le champ éthérique subit à son tour l’influence du plan astral comme nous le verrons un peu plus loin.
De cela découle une importante conséquence pour la médecine : elle doit se préoccuper de soigner l’individu sur tous les plans à la fois. Si le corps physique est le premier touché (accident par exemple), alors il doit être soigné, mais le champ éthérique également sinon des troubles plus ou moins importants continueront de se manifester longtemps. Si le corps physique est malade, alors il faut en chercher les causes dans le champ éthérique, voire dans l’astral. Donc la médecine ne doit pas soigner des maladies, mais des malades, chacun étant unique.
La conception weidique du vivant doit permettre de mieux comprendre l’efficacité de certaines médecines, à commencer par l’homéopathie. La médecine moderne, qui ne voit en l’homme qu’un assemblage de molécules, a raison de dire que les taux de dilution employés dans les préparations homéopathiques ne peuvent avoir aucun effet direct sur le corps physique. Mais la médecine homéopathique a elle aussi raison de prétendre que ses médicaments agissent effectivement. La contradiction entre ces deux affirmations est levée en observant que bien que ne contenant plus de molécules actives, ils peuvent tout de même garder de l’information grâce à certaines propriétés de l’eau, pour la communiquer au champ éthérique. L’efficacité de l’homéopathie tient donc au fait qu’elle traite le champ éthérique avec des informations d’un certain type, ce qui ensuite évidemment retentit sur le corps physique. Alors que la médecine allopathique soigne le minéral avec du minéral, ce qui est logique, bien, et fort efficace à son niveau, l’homéopathie soigne l’éthérique avec des informations de l’éthérique.
L’action de l’acupuncture est quelque peu différente. Il s’agit cette fois d’intervenir sur le corps physique pour corriger des désordres de l’éthérique, ce qui dans un second temps retentit là encore sur le physique. Les points d’acupuncture seraient donc des points particuliers de jonction entre le corps physique et le champ éthérique. Certains voient d’ailleurs en eux des vestiges de réseaux informationnels ayant servi au cours de l’embryogenèse, ce qui ne fait que renforcer notre idée quand on sait que celle-ci est dirigée par l’éthérique.
Angelina Viva
(source: http://co-creation.net – Martine Castello et Vahé Zartarian)