Toute la chimie repose sur les échanges ou les mises en commun d’électrons entre les atomes pour former des molécules biologiquement actives. Comme le photon, c’est une entité difficile à apprécier dans le temps comme dans l’espace.
Au sein de la matière, il est une onde-particule qui ressemble bigrement au photon, c’est l’électron. Situé en périphérie des noyaux atomiques, lui aussi n’existe que sous forme d’onde à la présence aléatoire, à la position toute statistique, mais il apparaît spontanément au moment de sa détection. Et dès lors, il devient docile, se laisse localiser, mesurer, et accepte même d’être apprivoisé pour des usages propres à l’homme.
Pourtant, autant les photons sans masse sont en nombre infini, et à l’état naturel (oublions les lasers!) sans direction définie, autant les électrons sont dépendants des noyaux de matière, dont on ne s’échappe pas comme ça… Pourtant, des étoiles comme le soleil peuvent exprimer des bouffées d’électrons (vent solaire), vite récupérés par notre atmosphère lors de leur arrivée sur terre.
L’électron possède des propriétés remarquables: il a une masse bien définie (1/1835 ème de celle du proton), qui localement est telle que la lumière reçue ne peut s’en échapper: l’électron “onde” est parfaitement invisible.
L’électron porte une charge électrique négative, et c’est cette charge qui va s’échanger ou interagir d’un atome à l’autre pour créer les molécules, les cristaux, et les réactions chimiques.
Sans cesse en déséquilibre, l’électron est considéré comme un micro-trou noir qui existe et disparaît en permanence. Le chercheur Lambin-Destremont nous avait (Effervesciences n°6)
apporté un schéma original pour illustrer ce concept: la “substance” de l’électron se contracte pour disparaître dans un trou noir, puis pour exister à nouveau (“fontaine blanche”) localement, en ayant conservé sa charge, sa masse et ses informations …
Jean-Emile Charron s’est lui aussi penché sur les caractéristiques de l’électron: pour lui, c’est “un micro-univers autonome qui possède son temps propre, son espace propre, et qui pulse en permanence, inondant son environnement en informations sous forme électromagnétique”.
On place souvent l’électron dans la catégorie des “briques fondamentales” de la matière.
Erreur! Vue sa taille minuscule, sa masse insignifiante, il agit essentiellement par son énergie et sa charge électrique.
Pour garder un vocabulaire de maçon, l’électron représente plutôt le ciment, voire le ferraillage de l’atome dont les briques sont effectivement les protons et les neutrons.
Au niveau supérieur des molécules, c’est encore la valse des électrons qui impose le tempo des échanges ioniques, avec tout le cortège des réactions biochimioques qui en découle.
Et ce sont les électrons du vivant qui impriment cette “marque vitale” de la chiralité des biomolécules à partir de carbones asymétriques: ces molécules disymétriques constituent l’armature protéique de la cellule vivante, mais aussi l’éventail des chaines enzymatiques dont les acteurs se reconnaissent via cette “marque vitale”.
Les mêmes molécules issues du “non vivant”, par exemple un digesteur chimique, produisent les mêmes produits (mêmes équations chimiques), mais avec des symétries parfaites, soit 50% levogyres pour 50% dextrogyres …
Photons et électrons correspondent à trois types de rayonnements vitaux, qui ne sont toujours pas reconnus par la science académique:
– le rayonnement structurel (ou énergie structurelle), issue de toute matière vivante ou inerte, caillou, rameau végétal ou bifteck haché sur son étal. Toute substance émet une énergie de base liée à sa structure et aux échanges entre particules et ondes qui existent dans toute matière.
– le rayonnement fonctionnel (ou énergie fonctionnelle, encore appelée “énergie vitale”), reflète les échanges électroniques liés à la vie. C’est ce rayonnement qui apparaît en spectographie comme un manteau énergétique (effet Kirlian).
– le rayonnement pathologique correspond à la déviation de l’énergie fonctionnelle sous l’effet de la maladie. Les émissions d’ondes et de particules sont modifiées et leur mesure permet de classer le malade en fonction de son terrain (son mode réactionnel chronique), de son mode réactionnel aigu aux agressions extérieures ou aux déséquilibres intérieurs.
Pour mesurer ces rayonnements: la spectographie. Cette technique consiste à exciter les photons et le électrons de la couche énergétique située à l’extérieur de la peau. Celle-ci, invisible à nos yeux parce que dans le spectre UV, est rendue visible par modification des fréquences vers le bleu. Cette couleur actinique impressionne le papier photo.
Comme l’atmosphère terrestre avec ses diverses strates, l’”aura” apparaît en trois couches, et permet de visualiser des pathologies bien présentes au niveau énergétique, mais pas encore apparente au niveau clinique ou biochimique, ou bien suivre l’efficacité d’un traîtement au jour le jour.
Cet article se situe dans un dossier sur les médecines quantiques. Les articles précédent évoquaient les erreurs et contraintes de la méthode scientifique conventionelle, puis la notion d’éther puis encore les particularités du photon.