La désoxygénation des zones côtières est principalement due au phénomène d’eutrophisation lié à la fertilisation excessive des sols par les engrais dans les bassins versants de fleuves qui les déversent dans les estuaires et les zones côtières

La désoxygénation des zones côtières est principalement due au phénomène d’eutrophisation lié à la fertilisation excessive des sols par les engrais dans les bassins versants de fleuves qui les déversent dans les estuaires et les zones côtières
L’eau est omniprésente dans l’organisme, sous forme circulante (sang, lymphe, liquide céphalo-rachidien), sous forme extra-cellulaire (c’est l’eau du conjonctif), et sous forme intracellulaire, où les molécules sont comprimées et forment un réseau dont on est loin de connaître tous les secrets…
Des conférences pour découvrir les bases de physique quantique, de biologie cellulaire et de chimie pour appréhender les fondements scientifiques de l’homéopathie, et de bien d’autres thérapies dites alternatives pour renforcer votre immunité face aux aléas de la vie.
C’était pourtant une belle avancée technologique: plutôt que d’être halés depuis les berges par des boeufs ou des mules, des bateaux à vapeur s’agrippent et s’avancent le long d’une chaîne tendue au fond des rivières. Et servent ainsi de tracteurs pour de nombreuses barges à leur suite …
Comment survivre dans une eau trois fois plus salée que son propre sang, sans pouvoir accéder à de l’eau douce ? Les mammifères marins (mais aussi oiseaux et reptiles) ont dû mettre en place au cours des millénaires, des adaptations anatomiques et physiologiques. Et ça marche parfaitement.
Les fascias, alias sous-muqueuses, sont encore considérés comme un tissu accessoire, qui « tend les organes », leur donne une forme et accessoirement, les nourrit et les purge des impuretés accumulées. Des chercheurs en ont fait récemment un graal médical, la découverte d’un « nouvel organe » qu’il ont nommé interstitium. Qu’est ce qui est nouveau, et est-ce bien un organe à part entière ?
Quand on dit eau, on pense H20, molécule simple, universelle, pleine de malice et de capacités. Mais pour en expliquer certaines propriétés, il faut creuser plus loin...
La limite entre terre et mer, c’est le “trait de cote”. Sous l’effet du changement climatique, la mer gagne généralement du terrain, en particulier dans les mangroves et au niveau des estuaires.
Certaines météorites contiennent de la matière organique qui a pu participer à la mise en œuvre d’une chimie nécessaire à l’émergence de la vie sur Terre. Cette matière organique météoritique pourrait avoir un lien avec les molécules observées dans les nuages moléculaires denses, lieu de formation de notre Système solaire
Les premières alertes sont venues de mers intérieures, réceptacles de toutes les pollutions continentales : Baltique, Mer Noire, baies de la Mer de Chine … Au fur et à mesure que la population halieutique diminuait, on voyait apparaître des quantités impressionnantes de méduses, parfois gigantesques, parfois toxiques, toujours encombrantes et caractéristique d’un gravissime déséquilibre environnemental.