Les “vaccins” à ARN s’accumulent bien dans les tissus, dont les ovaires.

Selon la doxa officielle, les injections en intramusculaire dans le muscle libéraient l’ARN immédiatement pour provoquer localement une production de “spike”, l’antigène choisi pour contrer le virus. Sauf que cette soupe “vaccinale” (ARN+ sa vésicule de transport) se retrouve dans de nombreux organes, dont le foie, la rate et les ovaires.

Présentée comme un vaccin, l’injection d’ARN messager comprend une certaine quantité d’ARN (qui doit “apprendre” aux cellules musculaires du lieu d’injection à produire des protéines “spike”, semblables à celles du virus), à l’intérieur de vésicules de transport phospholipidiques qui s’accolent aux cellules musculaires visées pour y déposer leur contenu ARN.

C’est en effet une technique médicale d’avenir qui permet de faire produire par les malades leurs propres médicaments (anticorps, enzymes, etc).

Le lancement de ces “vaccins” s’est fait dans la plus grande précipitation et la plus grande opacité. Seule la FDA (Food and Drug Administration) avait connaissance des documents concernant les “essais thérapeutiques” concernés.

On sait maintenant que les allégations de 90% ou même 95% de protection vaccinale étaient une vue de l’esprit, indémontrables en si peu de temps.

Puis ont arrivés les effets secondaires, constatés par les médecins de terrain, mais niés, voire ostracisés (le complotisme!) par les responsables de santé du monde entier.

Tout de même, on pouvait demander à consulter les documents techniques de Pfizer et Moderna (dans le même temps, les vaccins classiques, Astra Zeneca et Johnson étaient prudemment mis au rancart … ou proposés élégamment à des pays moins bien lotis !).

Réponse de la FDA: “C’est tellement compliqué de vous trier les bons documents, qu’il faudra au moins 50 ans” !

Il a fallu une décision de justice pour obliger la FDA à publier le 1er mars ces documents, ce n’était pas si compliqué ! Pas compliqué, mais révélateur d’une étonnante complaisance, à moins de s’en tenir à une simple incompétence. L’avenir (judiciaire?) nous le dira. Et cet avenir judiciaire est évoqué par de nombreux scientifiques eux-mêmes.

Toujours est-il que ces documents récemment révélés montrent que dès les premières manips, on voyait apparaître une accumulation du matériel “vaccinal” dans de nombreux organes, et ce dans les deux jours suivant l’injection. Dans des organes, et pas des moindres: le foie, la rate, les ovaires les plus touchés, mais aussi la prostate, les ganglions, la thyroïde… et bizarrement, rien dans le sang….

Il s’agissait là d’études sur un temps court, destinées à contrôler la dynamique des produits injectés. Elles auraient dû bien sûr bloquer toute mise en route de vaccination mondiale.

Nous en sommes quelques mois plus tard, avec des effets secondaires par milliers, sans doute par millions. Concernant les ovaires, il est certains que de nombreux dysfonctionnements en terme de douleur, écart de cycle, saignements sont avérés. Trop tôt pour parler de cancer.

Le tableau ci-dessous qui date de 5 mois, est publié par le ministère de la santé anglais. Mais selon les médecins de terrain seulement 20% des troubles sont effectivement déclarés et pris en compte dans les stats.

“On aurait dû”

“On aurait dû” est une expression qui va revenir pendant longtemps après cette crise. Bien sûr qu’au vu de ces chiffres, on aurait dû, pour les femmes, “réserver” cette thérapie aux femmes ménopausées, sans désir de grossesse, et d’un âge où les capacités immunitaires avaient besoin d’un soutien.

Mais que cela vienne des Etats, dont les responsables ont enfin compris les piteux résultats de ces “vaccins” sur le virus omicron, ou bien des gens eux -mêmes qui font de la résistance aux troisièmes doses, on note un effondrement des injections dans le monde entier. Encore que Véran a récemment admis avoir commandé à Pfizer 30 millions de doses pour cet été ….

Au passage, il n’y a rien à rajouter à cet article paru en juin 2021, à propos de mes premiers doutes. Quant aux observations de médecins de terrain, occultées par les médias officiels, elles sont toujours d’autant plus d’actualité.

Source