Les études toxicologiques classiques s’appuient sur la prise de substances douteuses, à doses diverses, avec observation des effets biologiques. Mais on peut aussi observer les incidences d’une alimentation bio, versus alimentation “normale”… Sur des perdrix, les résultats sont quasi immédiats… le Bio est un réel facteur de santé.
Il y a environ 252 millions d’années, la Terre a subi l’événement écologique le plus important et le plus destructeur de son histoire: l’extinction du Permien-Trias, également connue sous le nom de Great Dying. Cette extinction massive a effacé plus de 90% des espèces marines et 70% des espèces terrestres. Qu’est-ce qui aurait pu provoquer un épisode aussi cataclysmique?
Les bactéries sont partout autour de nous, mais aussi dans notre intérieur (poumons, intestins …) . La biologie pastorienne les a identifiées, pour mieux les contrôler sur un plan médical, mieux les asservir pour des processus bio-industriels. Mais après un siècle de belligérance, on s’aperçoit que “l’adversaire” est le plus souvent un partenaire, et qu’il existe dans son milieu naturel, de manière totalement différente que dans nos cultures de laboratoires. Avec de telles erreurs de jugement, il n’est pas étonnant d’assister à des échecs thérapeutiques ou technologiques, en particulier lorsque les bactéries s’organisent en commun pour créer des biofilms.
On connait STOP, le robot à quatre pattes développé aux USA pour des actions militaires ou de sécurité. Un clone chinois est désormais disponible: l’alphadog vise des applications civiles.
La Nature n’est pas avare en substances dommageables pour des organismes biotiques. Mais ceci dans un cadre d’équilibre naturel, structuré par des millions d’années d’évolution du Vivant. Et puis l’Homme est arrivé, chimiste chevronné, inventeur de milliers de molécules synthétiques inconnues de nos organismes. Notre petite bulle appelée Terre en est désormais saturée, leurs effets s’observent à tous les niveaux.
Parce qu’on mange sa chair, le porc a plutôt été considéré comme un bétail, au même rang que les vaches ou les oies … et on n’a pas vraiment tenté de mesurer son intelligence, comme on l’a fait pour les chiens et les chats. Et pourtant, des études récentes ont apporté des résultats étonnants. Oui, le cochon est intelligent, tendance futé …
Dans la course actuelle pour sortir des protéines hors élevage, plusieurs voies, le plus souvent via des protéines végétales. Mais pour une saveur correcte, il faut incorporer du gras, du gras animal qui “tienne la cuisson” avec un goût qu’on peut moduler.
C’est une drogue autorisée ! Mais uniquement pour les chats. Cette cousine de la menthe et du basilic a des effets étonnants sur la plupart des chats. Excitants par inhalation, ou lénifiants par ingestion.
Cet organe original et éphémère possède des vertus médicales utilisées durant des siècles dans toutes les civilisations. En France, l’auto-médications (pour les femmes désirant conserver leur placenta après accouchement) est interdite. Aux USA, un patch à base de placenta purifié est actuellement en cours d’utilisation.
Ce patch pourra soig ner les ulcères des diabétiques