Pour contrer le bilan carbone des obsèques, ce projet d’urnes de glace à laisser flotter au gré d’un cours d’eau…
L’urne de glace flottante pour disperser les cendres.
Catégorie : ENVIRONNEMENT
Pourquoi les paresseux sont-ils si lents ?
Quels sont les avantages d’une attitude aussi mesurée ? Les scientifiques mettent en lumière la vie tranquille du paresseux.
Pilosité, graisse… hibernation ? Toutes les techniques de notre corps pour résister au froid
Notre espèce n’est pas entièrement pas démunie contre les frimas. Quelles sont ses stratégies face aux températures glacées ? Et pourquoi n’hibernons-nous pas pour passer l’hiver comme le font d’autres mammifères ?
Le concept de voiturette solaire est une bonne idée.
Faire électrique, mais léger (biplace) et avec un appoint énergétique via le freinage et des capteurs solaires. Avec un design convenable, c’est le succès assuré dans des contrées ensoleillées …
“Le sang des glaciers”: ces algues rouges qui aiment le froid.
Au printemps, les glaciers alpins se teignent parfois d’une fine couche rouge ou orangée. Ce phénomène, connu sous le nom de “sang des glaciers”, est dû à la pullulation d’une algue microscopique appelée Sanguina nivaloides.
La “perversion” de vrille, ou comment s’attacher quand on est une belle plante
Des chercheurs ont reproduit expérimentalement les caractéristiques physiques et mécaniques de la forme des vrilles végétales, notamment quand elles présentent une « perversion de vrille » où le sens de l’hélice s’inverse.
Les masques, nouveaux déchets plastiques de l’ère post COVID
Les consignes de lutte contre la COVID-19 ont entrainé une forte augmentation de l’usage des masques[1] constitués à 90% de polypropylène (PP). Les défaillances des procédures de leur collecte et le manque de civilité de certains consommateurs ont facilité la dispersion des masques dans l’environnement;
L’écologie bactérienne: avoir un oeil neuf sur le développement des micro-organismes.
On a jusqu’ici fixé des rôles métaboliques, voire pathogènes à des microbes bien précis. Mais en fait, ils agissent à plusieurs, tant dans un biofilm que dans un compost de jardinier. C’est l’ensemble qu’il faut connaître et protéger.
Un business qui monte: l’enfouissemnt du CO2.
Si l’on considère (???) que le réchauffement climatique constaté est dû au CO2 émis par l’activité humaine, alors oui il faut en séquestrer ce que l’on peut, en se faisant payer par les producteurs. Un business gigantesque qui démarre à peine.
Le microbiote et les polluants : des liaisons dangereuses ?
Actuellement les effets des polluants chimiques sur le microbiote humain restent peu connus car l’étude du microbiote est relativement récente, tout comme celle, des polluants chimiques. Raisons de plus pour faire le point.
