Matière / énergie : la théorie du Vortex

“Tout est vibration”. Du photon au spin des électrons. Bon, mais comment s’organise la correspondance entre ces vibrations et la matière qui nous constitue?

Bien des théories ont été proposées, le plus souvent des constructions de l’esprit. Voici la théorie du Vortex, selon Jean Dragonera, inspirée par les travaux de Schauberger.

” La Science ne donne accès qu’aux apparences ”

Bernard d’Espagnat (ancien Directeur du Laboratoire de Physique Théorique d’Orsay).

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Police scientifique: remplacer les portraits-robots par des caricatures ?

Pour diffuser un visage et rechercher des témoins, le portrait-robot est un moyen classique, dont la finalité est d’intégrer le maximum d’éléments de ressemblance entre le dessin et la personne recherchée. Mais cette ressemblance repose sur bien trop d ‘éléments ( jusqu’à 500 ! ) pour faire surgir les quelques traits prédominants qui marqueront les éventuels témoins …

Le talent du caricaturiste est justement de percevoir en quelques instants les attributs les plus caractéristiques d’un visage, et de les retranscrire en quelques traits. Selon un croquis simple mais facilement mémorisable.

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L’épidémie: il faut sans doute tout revoir.

Virus, oui, implication bactérienne, oui aussi, mais le vrai problème dans les cas dramatiques, c’est l’énorme difficulté aux globules rouges de capter et de transporter l’oxygène. Et ça, c’est un problème qui échappe aux virologistes, c’est un problème de métabolisme cellulaire … qui à bien des égards, se rapproche de la pathogénie du paludisme …

Alors, il faut changer de lunettes et s’atteller à un autre problème … sans doute le VRAI problème …

Ce sont des urgentistes “tous terrains”, en particuliers des médecins qui ont écumé la planète lors de missions, qui ont connu toutes les , pathologies infectieuses, parasitaires, de catastrophes, dans des milieux très différents, et qui ont sonné l’alarme: “ces patients sont comme les passagers d’un avion brutalement dépressurisé: il leur manque de l’oxygène dans tout l’organisme et ils étouffent.

De fait le virus s’attaque aux globules rouges, dont il modifie les caractéristiques de la molécule principale: l’hémoglobine au niveau de son noyau central: l’hème.

L’hème est une protéine qui possède en son centre un atome de fer, et c’est ce fer qui attire et qui retient les molécules d’oxygène dans le sang et dans tous les tissus, où inversement, il va capter le CO2 pour l’emmener pour son élimination jusqu’aux poumons.

Le Covid 19 agit sur ce noyau hème (et comment?), avec pour effets de chasser l’atome de fer qui se trouve libéré, alors que le globule rouge perd alors ses capacités de transporter l’oxygène.

Double peine pour le malade: il est en hypoxie dramatique (et là, il “suffirait” de le placer en oxygénation hyperbarre), mais ce fer libéré est ravageur: c’est un oxydant toxique qui brûle littéralement les tissus adjacents, le plus souvent au niveau pulmonaire.

Certains bactéries, jusque là anodines, profitent de cet ouragan inflammatoire et se développent rapidement. C’est alors tout l’intérêt des antibiotiques de type azythromycine (mais il en a plusieurs dans cette catégorie)

Mais c’est aussi une manière de comprendre l’intérêt de l’hydrochloroquine, un médicament majeur contre le paludisme. Et c’est quoi le paludisme ? Une maladie des globules rouges où le parasite plasmodium se développe en détruisant l’hémoglobine. Et l’hydrochloroquine, en abaissant le pH cellulaire (tout comme le bleu de méthylène), bloque le développement du parasite.

Soigner en amont les prémisses de la maladie, c’est la moindre des choses, et c’est le protocole marseillais qui est bridé par ailleurs (sauf par une myriade de médecins de ville ou de clinique, qui prennent sur eux et soignent au mieux).

Arriver à juguler l’inflammation, ce serait le rôle des interférons béta (essais en cours), mais aussi de molécules “de base”comme les cortyicoïdes, qu’on a décriées dès le début de l’épidémie comme étant facilitatrices pour l’infection.

Tout dépend du stade de la maladie , mais ces médicastres de salons (tiens, ce serait bon de ressortir certains textes de Molière) ne voient que le virus, avec le graal du vaccin comme la future victoire du système médical.

En attendant, tout l’effort de recherche est dirigé dans ce qui semble être de fausses pistes.

Bien sûr, chaque jour apporte de nouveaux savoirs, de nouveaux espoirs. Dans ce blog, nous restons vigilants, merci de nous suivre régulièrement.

Jean-Yves Gauchet

Les mystères de la chatouille

Vous pensez que ça vous gratouille, ou que ça vous chatouille ?

Pourquoi rions-nous quand on nous chatouille ? Pourquoi ne rions-nous pas quand nous nous chatouillons nous-mêmes ?

Ces questions ont intrigué des scientifiques depuis la nuit des temps, depuis Socrate (l’un des premiers théoriciens de la chatouille), en passant par Platon et Charles Darwin. Et les réponses sont intrigantes….

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Papillons et chenilles ont la même mémoire…

Quand une chenille se transforme en papillon, les modifications tissulaires sont telles qu’il est difficile de croire qu’ils appartiennent à la même espèce, qu’ils partagent les mêmes chromosomes …

Pourtant, même si leur carapace de chitine si bien organisée, avec ces ailes fabuleuses d’ingéniosités aérodynamiques et optiques, n’a rien à voir avec la « mollusquitude » de son état de chenille, même si le régime alimentaire nouveau implique des trompes souples et élégantes plutôt que ces mâchoires broyeuses précédentes, hé bien ces papillons gardent des souvenirs de quand ils étaient tout mous …

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Douleurs: soigner le corps physique, ou bien son champ éthérique ?

Derrière le corps physique, un champ impalpable mais déterminant

En embryologie, les chercheurs sont désormais obligés d’admettre que l’embryon possède un “plan d’assemblage”, en dehors de son ADN (mais que sait capter son ADN, qui sert à la fois d’antenne et de commande), et que cette capacité d’organisation se retrouve en cours de croissance, dans le domaine de la cicatrisation ou de la régénération des tissus, voire des organes.

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L’hydrogène natif …l’oublié.

On l’avait oublié … parce qu’on ne l’avait pas cherché ….

Le pétrole classique est derrière nous, et la curiosité nous a poussé vers des hydrocarbures « exotiques », aux origines organiques prouvées (nos pétroles et gaz de schiste, bingo, il y en a partout, mais attention à la dégringolade …), aux gaz légers comme le méthane (il y en a partout, dans le permafrost ou sous les océans, mais on ne sait pas l’exploiter), et puis on re-découvre maintenant les potentialités gigantesques d’une production continue d’hydrogène dans des sous-sols sur tous les continents.

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Apithérapie: savoir contrôler le venin…

En apithérapie (soins avec les produits de la ruche …), les actions de soin les plus puissantes sont obtenues avec le venin d’abeille, qui contient selon la saison, l’essaim, le type d’abeille, des molécules très actives et même dans certaines conditions, extrêmement dangereuses.

Saisir l’abeille sans l’écraser et l’amener doucement vers la zone cutanée à traiter

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Quand les asticots … peuvent leurrer la police scientifique.

Voici une expérience, menée en Angleterre, sur des cadavres de porcelets, dont l’un avait été imprégné de nicotine, comme s’il avait fumé …
Hé bien dans les heures qui ont suivi leur mise à l’air, à la portée des mouches, seuls les porcs “non fumeurs” ont été attaqués par les asticots, les ” fumeurs”l’ont été que bien plus tard, peut-être après dégradation ou élimination de la nicotine.

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