Un phénomène naturel qu’on peut contrôler par une diététique simple et peu contraignante
Fonte de la masse musculaire et au mieux, son remplacement par du conjonctif graisseux: c’est la sarcopénie.
On appelle très doctement sarcopénie cette fonte musculaire
des seniors, au cours d’un processus qui s’emballe, mais qu’on pourrait
corriger, mais il faudrait alors modifier tous les principes diététiques actuellement
appliqués, par incompétence, négligence ou parcimonie.
La Nature est économe. Et elle développe mille astuces pour fonctionner avec la meilleure efficacité et les moyens les plus modestes. Des thermiciens américains pensent avoir découvert pour nos centrales le secret des poissons des mers froides.
Indispensables experts ! Feutrés et très secrets dans les cabinets ministériels, ou dans la lumière sur les plateaux télé, ce sont eux qui mènent le navire. Sans être du même avis sur le cap à tenir…
Quand on est expert, c’est qu’on est expert en quelque chose. Et plus on est un expert « pointu », plus on sait des choses dans un domaine très étroit, à l’écart des connaissances générales.
Connaissant mieux ce phénomène auto-régulateur, la médecine peut s’appuyer sur ces facteurs de stress contrôlés pour assurer la santé en retour. Mais avec des procédés (jeûne, froid, efforts physiques) qui ne sont pas moléculaires. Donc pas orthodoxes …
Nous l’avons vu, l’hormésis est un phénomène global qu’on observe, qu’on mesure, mais qui repose sur une mosaïque d’effecteurs dont on ne connait pas toutes les relations.
On ne peut donc pas le
présenter actuellement
comme une discipline
médicale.
On en reste donc à en appliquer le principe chaque fois qu’il apparaît judicieux
Ils ont désormais toute leur place dans les espaces urbains, et électrifiés, ils sont accessibles à tout type de conducteurs, avec une utilité qui s’affirme….
Vous souvenez vous du film “le triporteur” ? Un nanar franchouilleux dont la vedette était ce véhicule surané, puisque la voiture-reine désormais s’imposait dans ces années 60…
Mais les choses évoluent très vite. Voitures et camionettes bridées de stationner, puis même de rouler, exigence des clients d’être livrés à domicile … Qui va faire le boulot ?
Une nouvelle profession s’organise, avec des outils innovants. Faisons le point.
La “maladie du soda”, ça parle mieux que la “stéatohépatite non alcoolique”. Mais c’est tout aussi fumeux!
On a appris l’existence de cette maladie lorsqu’elle a touché Pierre Ménès, célèbre journaliste footbalistique, qui on s’en doute depuis, buvait beaucoup de sodas …
La NASH est la forme la plus sévère de la surcharge du foie en lipides, la stéatose hépatique. Cette stéatose hépatique est très courante et elle accompagne des maladies comme le diabète ou le syndrôme métabolique. La cause est bien connue: malbouffe, grignotage, excés permanent de sucres, en particulier du fructose caché dans les plats industriels. De fait, cette stéatose touche la majorité des obèses.
Si l’inflammation du foie est absente ou minime dans la banale stéatose hépatique, en cas de NASH, une inflammation chronique plus importante peut conduire à la cirrhose, c’est à dire à la destruction du foie.
Ce schéma passe actuellement en boucle dans les médias américains.
Pourtant, en France tout du moins, si la stéatose hépatique est banale, les décès liés à une cirrhose consécutive à une NASH sont si rares qu’ils ne sont pas individualisés dans les causes de décès recensées par l’INSERM.
Miser sur la seule nicotine pour sevrer les addicts, c’est oublier qu’une plante est un assemblage de dizaines de principes qui agissent ensemble. Et c’est encore valable pour le cannabis, dont la médecine ne retient que le CBD.
A ma gauche, la cigarette, + de 100 composés végétaux plus les saletés des fabricants… à ma droite, les tablettes de nicotine.
La controverse actuelle sur l’efficacité des substituts
nicotiniques constitue un excellent exemple des limites de la phytothérapie
monomoléculaire.
Depuis la méduse jusqu’aux petits génies humains, comment un simple assemblage de neurones s’est transformé en un complexe auto-régulé aux ressources infinies.
La “mémoire” des organismes très primitifs (type méduse) est en fait un arc réflexe. Des circuits de quelques cellules spécialisées, plus excitables et plus ramifiées, qui relient des récepteurs (cellules ciliées) à des cellules réactives (musculaires ou toxiques).
Les ocelles (“yeux”) suivent le pourtour de la corolle, tout comme les cellules sensibles (futurs neurones)
L’évolution du “système nerveux” a été marqué par une multiplication des cellules sensorielles (oculaires, gustatives, tactiles, chimiques, électriques) et une densification des désormais neurones dans la partie céphalique où se trouve également la bouche et les ocelles .
Stress, maladie ou vieillesse … autant de causes de dysfonctionnements. La cellule doit décider elle même si elle est réparable ou si elle doit tirer sa révérence.
En cas de
désordres sévères dans une cellule (intrusion virale, accumulations toxiques),
le premier réflexe cellulaire est de tenter de réparer les molécules
lésées. C’est le rôle des protéines chaperon (HSP) qui regroupent les fragments
moléculaires et les enserrent comme un presse-livre afin de les
reconstituer.
En cas d’échec
(critères mal compris actuellement), ces déchets décidément inutiles,
voire dangereux, peuvent avoir deux destinées :