Voici une expérience, menée en Angleterre, sur
des cadavres de porcelets, dont l’un avait été imprégné de nicotine, comme s’il
avait fumé … Hé bien dans les heures qui ont suivi leur mise à l’air, à la
portée des mouches, seuls les porcs
“non fumeurs” ont été attaqués par les asticots, les ”
fumeurs”l’ont été que bien plus tard, peut-être après dégradation ou
élimination de la nicotine.
Le Dr Gatenby est un radiologiste un peu hors normes, qui a publié dans Nature un papier provocateur, à la suite de recherches statistiques qu’il détaille dans cette parution. Le principe qui sort en conclusion, est que les efforts thérapeutiques qu’on fait actuellement sur les cancéreux pour éliminer les tumeurs ( comprendre chimios et radiothérapies), ne permettent de gagner que des victoires à la Pyrrhus : ces traitements en effet permettent en permanence la sélection des cellules les moins sensibles, car contrairement aux anti-infectieux par exemple, on ne peut pas utiliser la dose maximale, celle qui va tuer TOUTES les cellules cancéreuses : il faut protéger les cellules saines. Et donc laisser forcément s épanouir en quelques semaines les cellules résistantes, celles contre lesquelles on ne sait plus lutter… mais au sein d’un organisme blessé, dénutri, avec des tissus enflammés qui peuvent eux mêmes cancériser …
Devant l’incurie des “sachants”concernant notre épidémie, de multiples initiatives se font jour, lancées par des individus eux-mêmes sachants, mais complètement intégrés aux réalités cliniques. Et qui font apparaître des savoirs oubliés, ou encore qui font des trouvailles qui font réfléchir.
Le bleu de méthylène, ici dans sa version injectable.
C’est le cas d’un vieux remède, le bleu de méthylène. On l’utilise encore comme désinfectant urinaire, ou en aquariophilie contre les infections cutanées des poissons. C’est aussi un médicament d’urgence pour certaines intoxications.
Ce travail de compilation très sérieux a été réalisé par une équipe de rédaction de la revue Journal of virus eradication
Ils ont fait apparaître, à partir des catalogues commerciaux des différents sous-traitants indiens, les prix de revient des différents anti-viraux actuellement testés contre le Covid-19.
Comme on le voit sur ce tableau, même les molécules réputées onéreuses, utilisées actuellement contre le Sida ou les hépatites, même ces molécules ont un prix de revient très modeste, que ce soit (colonne de droite) pour le coût journalier, ou (colonne de gauche) pour le coût total d’un traitement.
Où va la différence ? Ci-dessous un exemple de disparités… et donc de bénéfices selon les pays acheteurs.
Prix de vente du Lopinavir/ritonavir, selon les pays.
Prenons la Guyane, le seul département français où cette vaccination BCG est obligatoire: c’est actuellement le moins touché, et en nombre de cas, et en nombre de décès.
Prenons le cas de l’Allemagne: à l’est, historiquement (la RDA), on a systématiquement vacciné ceux qui sont actuellement séniors. C’est actuellement la partie de l’Allemagne la moins touchée, et en cas, et en nombre de décès.
Les chiffres sont là, et on peut comparer des populations nombreuses, très nombreuses, vaccinées versus des populations non vaccinées, donc l’équivalent de placebos.
Ce vaccin a eu un effet protecteur pour le Covid. Au bout de combien de temps ? Sur quelles types de populations ?
Il y a eu des précédents avec les guerres mondiales, au cours desquelles l’essentiel des ressources était destiné aux armées. Aux civils de se débrouiller pour développer un jardin familial à la bonne saison, et à engranger des conserves pour l’hiver …
Une hirondelle ne fait pas le printemps. Mais quand elle est attendue
par des millions, la moindre des choses serait de l’observer et de la protéger
…
Imposer un repos métabolique à l’organisme
L’hirondelle, c’est cette série d’expériences d’un médecin américain,
le Dr Valter Longo, prof de gérontologie en Californie, et qui vient d’en
publier les résultats dans “Science Translational Medecine”.
L’idée, c’est de vérifier l’argument des “naturalistes” , selon lesquels un organisme qui vient de subir une épreuve, est mieux armé pour en subir une autre, même plus violente.
Maintenant, on appelle cela des “proxies”, des guerriers délégués à un combat qu’on n’assume pas …
Surcouf, le plus grand, une légende de la mer …
Les corsaires sont des supplétifs qui se
mettent au service d’un état, aux cotés de la Marine de cet état.
Ils
ont ainsi un statut civil, mais n’agissent que sur mission (la “lettre de
course”) et ne doivent s’attaquer qu’à des navires ennemis (ce qui suppose un
état de guerre déclarée).
La guerre de course (d’où le mot
“corsaire”) a souvent été pratiquée par un belligérant pour pallier
l’insuffisance de sa propre marine. Ce système est très avantageux pour l’Etat:
le poids financier de l’armement corsaire est à la charge de l’armateur, et le
gouvernement touche une part de la revente des prises opérées par le corsaire
(navires + cargaisons). De plus, c’est à l’armateur de payer la rançon des
marins corsaires prisonniers en cas de défaite.
En 2020, on appellerait cela une “délégation de service public” …
Une fleur ? Un champignon ? en tous cas quelle odeur épouvantable!
Nous
sommes en 1818, dans les forêts du sud de l’Indonésie. Le botaniste britannique
Joseph Arnold, membre d’une expédition conduite par sir Thomas Raffles (qui,
entre autres, abolira l’esclavage à java et fondera Singapour), suit un de ses
guides qui a été attiré par une odeur pestilentielle qui, sans nul doute,
allait le conduire au cadavre décomposé de quelque animal. Au lieu de la
charogne escomptée, ils découvrent une fleur gigantesque, de près d’un mètre de
diamètre, environnée d’une nuée de mouches, elles aussi alléchées par l’odeur.
Arnold baptise cette trouvaille d’après le nom du chef de l’expédition :
la première des Rafflesias vient
d’être découverte. L’étude de sa biologie allait révéler bien d‘autres
surprises que la talle exceptionnelle de sa fleur, et montrer à quel point le
vivant est plastique, faisant fi des classifications humaines même les plus évidentes…
Dès qu’on parle biochimie, on ne peut qu’évoquer l’eau comme constituant, vecteur et organisateur primordial de tout le vivant. N’oublions pas que si nous sommes globalement composés à 70% d’eau en terme de masse, ce chiffre atteint 99% en nombre de molécules: une seule molécule sur cent n’est pas de l’eau! Et l’on va bien sûr retrouver l’eau à la fois sous sa forme de matière, sous son aspect énergétique, et (grands mystères de l’eau depuis toujours!) dans ses capacités informatives à la fois locales, mais aussi globales.
Le nostoc, une algue verte, met en route dans l’eau l’ère des organismes pluricellulaires.