
Heureusement non, il s’agit d’une femelle oriole de Baltimore qui rassemble des touffes de crins de cheval et des fibres de chanvre pour édifier son nid. Vive la vie !
Photo: Sandra M. Rothenberg / Prix de photographie Audubon 2023
Heureusement non, il s’agit d’une femelle oriole de Baltimore qui rassemble des touffes de crins de cheval et des fibres de chanvre pour édifier son nid. Vive la vie !
Photo: Sandra M. Rothenberg / Prix de photographie Audubon 2023
Comment expliquer que dans les profondes nappes aquifères totalement anoxiques, des bactéries aérobies puissent se développer et prospérer ? C’est qu’elles ont des copines, qui elles, leur procurent de l’oxygène, via un processus de dismutation …
L’Australie regorge d’animaux “ensauvagés” (chats harets, chiens dingos, dromadaires et chevaux). Concernant les chats, il s’avère qu’ils sont des prédateurs redoutables pour les oiseaux, mais aussi pour les koalas, espèce protégée. Il a été décidé d’éradiquer cette population, via un robot récemment présenté.
La Californie, abrite à la fois des milliers de victimes du fentanyl, en très mauvaise santé, et des contingents impressionnants d’immigrants venus du sud. Beaucoup vivent dans la rue, mais une tendance se précise: l’habitat en camping cars.
L’épisode dramatique du Titan visiteur de l’épave du Titanic, est une illustration de cet engouement de certains “très à l’aise financièrement” pour aller au devant d’aventures frissonnantes.
Dans les écosystèmes de type mangrove, les “multinationales de la crevette” se sont invitées au détriment des locaux, mais aussi de la salubrité des eaux . Un désastre cent fois répété, et remis en route quelques kilomêtres plus loin, selon le principe du “spoil and run”.
Les aberrations et les mensonges qui ont accompagné les narratifs du Covid ont mis en avant l’existence de cet animal trop gentil et bientôt trop rare: le pangolin.
Ce sont généralement des circonstances accidentelles (déchets de beuveries humaines, fermentations de fruits) qui entrainent des comportements d’ivresse, mais parfois les animaux ne demandent qu’à y revenir ….
Si l’élevage est pour 18% des émissions anthropiques susceptibles de modifier nos climats, l’idée immédiate est de faire produire des protéines par d’autres sources: insectes, levures ou bactéries. D’où les études pour du lait, des fromages ou de la viande artificielles. C’est techniquement possible, mais on accumule les mauvaises surprises.
Désosser des vieilles twingo encore bien solides, extirper toute la partie moteur thermique, et les “rétrofiter” au budget le plus juste. C’est maintenant l’activité quotidienne de ce garage normand.