C’est un examen de laboratoire qui ressemble à un antibiogramme mais où les antibiotiques sont remplacés par des HE préalablement sélectionnées et de composition biochimique connue grâce à des analyses de laboratoire (chromatographie en phase gazeuse couplée à un spectromètre de masse).
L’aromatogramme permet de déterminer l’efficacité in vitro des Huiles Essentielles. Les résultats obtenus permettront de préparer avec précision une synergie d’Huiles Essentielles afin de lutter contre le germe en cause.
Dans le règne animal. La distanciation sociale se produit non seulement chez les espèces qui mènent toujours des vies solitaires, et s’évitent ainsi même lorsque personne n’est malade, mais aussi chez certaines espèces sociales lorsque les circonstances l’exigent.
Des fourmis aux abeilles en passant par les souris, les singes et les chauve-souris, un éventail d’animaux sociaux modifient leur comportement pour réduire le risque de propagation des infections. Beaucoup utilisent des stratégies qui ne fonctionneraient pas pour les humains, mais elles illustrent toujours pourquoi nous isoler lors d’une épidémie n’est pas aussi naturel que cela puisse paraître.
Le Baclofène est un “vieux médicament” toujours utilisé dans sa mission première, celle de myorelaxant. Mais une action secondaire fondamentale s’est avérée, celle de libérer les alcoolo-dépendants de leur dangereux penchant. S’en est suivi une triste manigance où les autorités médicales n’ont une fois de plus, pas le beau rôle …
Le Baclofène est devenu Baclocur … mais à utiliser à quelle dose ?
C’est une sorte de Kevlar, souple et robuste, qu’on peut assembler par impression 3D sur une matrice anatomique. Une avancée pour toutes les pathologies articulaires, y compris rachidiennes.
Comme chez l’homme, la prévalence du cancer chez les carnivores domestiques a augmenté ces dernières années et l’oncologie vétérinaire se développe de plus en plus face à la demande de soins des propriétaires.
L’objectif de la chimiothérapie conventionnelle est de détruire un maximum de cellules cancéreuses à chaque séance, tout en permettant aux tissus sains de se régénérer entre deux séances. Cette période de repos dure en moyenne 3 semaines.
La chimiothérapie métronomique utilise quant à elle, les mêmes agents cytotoxiques mais Per Os à faible dose et plus fréquemment, à des intervalles variant d’une journée à une semaine. Son objectif principal est de cibler le microenvironnement tumoral essentiel à la survie de la tumeur. Les cellules tumorales sont alors atteintes de manière indirecte.
On est assez désemparés par l’avalanche d’informations souvent contradictoires et faussées par des intérêts catégoriels ou économiques . Le tableau ci-dessous me semble bien construit et rassemble à ce jour (le 10 juin…) l’ensemble des savoirs utiles.
Le fameux DSM, la bible des psychiatres et des neurologues, comprend plus de 400 définitions et descriptions de troubles mentaux. En fait, beaucoup se recoupent, car on butte sur les imperfections du vocabulaire, sur les aprioris religieux ou sociaux (l’homosexualité en a été retirée en 1974), mais aussi sur des contingences historiques ou locales. Et donc vraiment difficiles à démêler …
Il y a des convenances médicales qui changent avec les époques: la mélancolie, tout comme l’hystérie, sont “passées de mode”, mais remplacées par diverses appellations savantes auxquelles correspondent des traitements, donc des médicaments dûment testés et avalisés par des autorités médicales. Et puis il y a des psychoses “locales” souvent ignorées par le fameux DSM, car elles ne “rentrent pas dans les cases”.
Pour décortiquer les savoirs actuels sur la physique quantique et ses applications en médecine, nous voilà partis pour une douzaine d’articles à paraître sur deux mois, certains en libre lecture, d’autres réservés aux abonné(e)s.
La physique quantique introduit une logique trinaire: on échappe au rigoureux “vrai ou faux” pour voir apparaître le “possible”.
En deçà
(et au delà …) du monde matériel et mesurable, base de notre biologie
moléculaire, les physiciens appréhendent un monde vibratoire chargé d’énergie
et d’informations, qui justement refuse d’être mesuré, sous peine de se
transformer aussitôt en substance matérielle figée sous le nez de
l’observateur.
Un peu
comme si l’eau d’un nuage ou d’un torrent se transformait en glace chaque fois
qu’on veut l’étudier … Et pourtant elle vole, et pourtant elle coule !
Toutes
ces avancées désormais glanées par les physiciens, doivent d’urgence être
intégrées à la biologie et à la médecine, afin d’en contourner les pesanteurs
et les blocages actuels.
La
“médecine quantique” est devenue une tarte à la crême qui attire lecteurs et
curieux, dans laquelle on peut glisser bien des ingrédients gentiment
ésotériques, doctement théologiques ou bien purement mercantiles. C’est facile,
puisque actuellement tout le monde s’y perd …
D’où cette série d’articles qui se veut repère indépendant de nos connaissances et des interprétations qui s’y rattachent.
Premier article: erreurs et contraintes de la méthode scientifique conventionnelle.
Les personnels qui font les prélèvements de gorge sont harnachés, masqués, empatouillés dans les vêtements de sécurité, leurs mouvements sont contrariés, et les frottements parfois un peu rugueux, ou au contraire inefficaces. Avec ce robot, les prélèvements sont plus sûrs et plus rapides . C’est au moins ce qu’en avancent les concepteurs danois.
On nous annonce un surcroît de prélèvements pour identifier les porteurs de virus … maintenant que la pandémie est sur son reflux. Mais sera t’on prêts pour la prochaine “guerre” ?