On connait les fusées “Amazon” et “Tesla”, toutes récupérables, qui commencent à remplacer les grandes agences étatiques sur le marché du lancement des satellites. Et apparaît un troisième larron.
Où l’immunologie se heurte à un mur d’incompréhension face au HIV: pourquoi ce virus refuse de “coopérer” avec les chercheurs pour la réalisation d’un vaccin.
3 – avec les années 90 et le SIDA, retour vers l’immuno-infectiologie.
4 – quelle place pour nos bactéries intégrées ?
5 – la théorie de la continuité / discontinuité
6 – Et maintenant ?
Troisième article : avec les années 90 et le SIDA,
retour vers l’immuno-infectiologie
C’est dans les années 90 que les immunologistes font le constat embarrassé des immenses lacunes de leur science. Leur échec cuisant (ils doivent céder la place aux chimistes pour traiter les malades) devant le SIDA est en fait un puissant levier pour acquérir de nouvelles connaissances. Jamais autant d’argent dans la recherche, autant de laboratoires en phase et en concurrence dans le monde entier.
Elles ont organisé la vie sur terre,, elles constituent maintenant un recours pour notre santé. Ce sont les cyanophycées, ou algues bleues.
Les algues bleues … sont vertes, mais leur pigment photosensible est bleu …
Les algues bleues sont les premiers « vrais » organismes à se développer sur Terre. En empruntant leurs gènes à différentes bactéries, elles se sont équipées de divers pigments, dont la phycocyanine bleue, capables d’absorber la lumière solaire pour en tirer une énergie biologique. A partir de l’eau et du gaz carbonique, elles obtiennent des sucres et rejettent de l’oxygène …
On a reproché à l’équipe marseillaise de bidouiller les malades avec des “vieilles molécules”dépassées ou hors protocole reconnu. Et l’on met en avant un tout nouveau remdesivir plein de promesses … Sauf que …
Aux USA, il existe un journal reconnu par toute la profession médicale, le STAT, dont le staff de rédaction est composé de journalistes, de médecins et de chercheurs de haut niveau, qui compilent en permanence les publications scientifiques, les comparent avec les témoignages ou observations des médecins praticiens.
Très récemment (le 14 mai), ce journal a fait paraître une tribune (first opinion) collective, dans laquelle est demandé directement à la société Gilead de retirer des essais le remdesivir, cette molécule vedette (qui par ailleurs ne brille pas dans les essais en cours), et de la remplacer par une autre molécule de l’écurie Gilead, dont le nom est GS-441524 .
Pourquoi cette demande (ou plutôt cette supplique) de “sachants” responsables, envers ce laboratoire tout puissant dans le domaine médical ?
Dans ce second article, on va décrire comment on est passé d’un système immunitaire “soldat” à un organisme de surveillance global, en relation avec les systèmes nerveux et hormonaux.
Le ton monte chez les écologistes … qui en sont à se rapprocher des chasseurs! Le chat, dès qu’il est en liberté dehors, est un prédateur de dizaines d’espèces animales. Alors que faire ?
Jusque là, tout va bien …
Le problème a été d’abord soulevé en Australie, où des millions de chats harets (devenus sauvages) constituent une population jugée néfaste: un danger pour les koalas, mais aussi pour plus de 500 espèces natives (reptiles, oiseaux et mammifères, au total 230 millions de victimes chaque année.
Engoncée dans son rôle historique de « science de la défense contre les micro-organismes”, l’immunologie voit son modèle totalement transformé à l’aune de nombreux travaux et découvertes, mais surtout de chercheurs « qui osent » sortir de la référence pastorienne.
Dossier en six articles à paraître courant mai:
1 – l’immunologie est née de la bactériologie
2 – retour vers la cellule : on comprend la « réaction immunitaire »
3 – avec les années 90 et le SIDA, retour vers l’immuno-infectiologie.
4 – quelle place pour nos bactéries intégrées ?
5 – la théorie de la continuité / discontinuité
6 – Et maintenant ?
“un germe, une maladie, un vaccin“, c’est le credo de l’immunologie pasteurienne.
Premier article : l’immunologie est née
de la bactériologie
C’est avec plaisir que nous voyons actuellement apparaître
dans la presse scientifique des réflexions et des voies de recherches… que nous
avons mis en avant dans « Effervesciences » depuis plus de quinze ans
…
Dans le monde entier, des “clusters” de la pandémie se retrouvent régulièrement dans les abattoirs et les circuits de distribution de la viande. Ce qui peut engendrer un coup d’arrêt pour toute la filière … mais d’autres solutions de remplacement.
Les chaînes d’abattage et de conditionnement impliquent une proximité permanente des personnels.
La “deuxième vague” évoquée pour maintenir les réflexes civiques lors du déconfinement se remarque surtout dans des situations très précises: réunions familiales ou religieuses, habitations précaires et surpeuplées, mais aussi dans des métiers particuliers, les premiers d’entre eux étant ceux de la filière viande.
Décortiquer les chaines enzymatiques de la photosynthèse et les réorganiser à partir d’éléments de synthèse: une équipe de Bordeaux a créé des pseudo cellules végétales possédant des chloroplastes artificiels.
Ces organelles verdâtres sont des pseudo chloroplastes au sein de gouttelettes: on approche de la cellule de synthèse.