Troubles psychiques: chaque pays a son histoire… et donc ses maladies propres.

Le fameux DSM, la bible des psychiatres et des neurologues, comprend plus de 400 définitions et descriptions de troubles mentaux. En fait, beaucoup se recoupent, car on butte sur les imperfections du vocabulaire, sur les aprioris religieux ou sociaux (l’homosexualité en a été retirée en 1974), mais aussi sur des contingences historiques ou locales. Et donc vraiment difficiles à démêler …

Il y a des convenances médicales qui changent avec les époques: la mélancolie, tout comme l’hystérie, sont “passées de mode”, mais remplacées par diverses appellations savantes auxquelles correspondent des traitements, donc des médicaments dûment testés et avalisés par des autorités médicales. Et puis il y a des psychoses “locales” souvent ignorées par le fameux DSM, car elles ne “rentrent pas dans les cases”.

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Douze cantiques pour une médecine quantique #1

Pour décortiquer les savoirs actuels sur la physique quantique et ses applications en médecine, nous voilà partis pour une douzaine d’articles à paraître sur deux mois, certains en libre lecture, d’autres réservés aux abonné(e)s.

La physique quantique introduit une logique trinaire: on échappe au rigoureux “vrai ou faux” pour voir apparaître le “possible”.

En deçà (et au delà …) du monde matériel et mesurable, base de notre biologie moléculaire, les physiciens appréhendent un monde vibratoire chargé d’énergie et d’informations, qui justement refuse d’être mesuré, sous peine de se transformer aussitôt en substance matérielle figée sous le nez de l’observateur.

Un peu comme si l’eau d’un nuage ou d’un torrent se transformait en glace chaque fois qu’on veut l’étudier … Et pourtant elle vole, et pourtant elle coule !

Toutes ces avancées désormais glanées par les physiciens, doivent d’urgence être intégrées à la biologie et à la médecine, afin d’en contourner les pesanteurs et les blocages actuels.

La “médecine quantique” est devenue une tarte à la crême qui attire lecteurs et curieux, dans laquelle on peut glisser bien des ingrédients gentiment ésotériques, doctement théologiques ou bien purement mercantiles. C’est facile, puisque actuellement tout le monde s’y perd …

D’où cette série d’articles qui se veut repère indépendant de nos connaissances et des interprétations qui s’y rattachent.

Premier article: erreurs et contraintes de la méthode scientifique conventionnelle.

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Ce robot effectue les prélèvements Covid …

Les personnels qui font les prélèvements de gorge sont harnachés, masqués, empatouillés dans les vêtements de sécurité, leurs mouvements sont contrariés, et les frottements parfois un peu rugueux, ou au contraire inefficaces. Avec ce robot, les prélèvements sont plus sûrs et plus rapides . C’est au moins ce qu’en avancent les concepteurs danois.

On nous annonce un surcroît de prélèvements pour identifier les porteurs de virus … maintenant que la pandémie est sur son reflux. Mais sera t’on prêts pour la prochaine “guerre” ?

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Quand le viagra permet d’éviter 50% des césariennes

A part les “césariennes de confort”, les actes thérapeutiques d’urgence sont dues à un manque d’oxygénation du bébé qui entraine une atonie utérine et un arrêt du travail d’accouchement. Le Viagra est un puissant vasodilatateur pelvien, qui permet d’irriguer ici, non pas un pénis défaillant, mais un foetus en stress. A manier avec précaution.



La césarienne (ouverture de l’abdomen pour en extraire le nouveau né) est une opération pratiquée depuis la nuit des temps. Sauf qu’avant l’utilisation des anesthésiques, la mère était systématiquement sacrifiée : selon l’Eglise, la priorité était le baptême du nouveau-né, la mission sur terre de la maman s’en arrêtant là.

Les progrès ont eu lieu en trois temps :

  • amélioration de l’asepsie
  • utilisation des anesthésiques
  • arrivée des antibiotiques.

La sécurité est désormais assurée, mais pourquoi autant de césariennes (de 15 à 40% selon les maternités…)?

Il y a les césariennes de confort. Confort de la maman, mais aussi confort du médecin … Et puis il y a les césariennes d’urgence, dues à une anoxie imprévue du foetus. Le viagra se présente comme une solution.

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L’immunologie, ou le “péché originel” des vaccins (6)

L’immunologie n’est plus la filiale vaccinale de l’infectiologie. Le système immunitaire est maintenant observé et compris dans un ensemble physiologique qui regroupe les systèmes nerveux, sanguins, et hormonaux. Et qui prend en compte des affections non infectieuses, comme les cancers, les maladies dégénératives, ou les troubles endocriniens.

Et maintenant ?

Nous avons vu au cours des 5 articles précédents comment l’immunologie est passée du rang de bricolage vaccinatoire à une place prépondérante du savoir médical.

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L’immunologie, ou le “péché originel” des vaccins (5)

Notre système immunitaire et vigilant, mais il peut également se laisser endormir par des informations antigéniques uniformes, permanentes. On sait le réveiller artificiellement (vaccins), mais “dans la vraie vie”, il faut savoir entretenir son attention.

la théorie de la continuité / discontinuité

Si l’on observe les pathologies pour lesquelles le système immunitaire est défaillant, comme les cancers (cellules cancéreuses repérées comme dangereuses, mais peu ou pas éliminées) ou encore les parasites intracellulaires, on s’aperçoit qu’elles ont en commun de présenter de manière constante leurs spécificités antigéniques, sans variation particulière.

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L’immunologie, ou le “péché originel” des vaccins (4)

Dans cet article, intéressons nous aux bactéries (amies ou ennemies?) que nous hébergeons dans tout notre corps, et leurs relations avec notre système immunitaire.



Qu’elles soient au plus profond de nous (bactéries de l’intestin, des bronches, du vagin), ou à la surface de notre peau, des dizaines de milliards de bactéries se multiplient en permanence au contact de nos cellules immunitaires de veille. Comment celles-ci font elles le tri entre les « bonnes bactéries » et les indésirables, voire dangereuses ?

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L’immunologie, ou le « péché originel » des vaccins (3)

Où l’immunologie se heurte à un mur d’incompréhension face au HIV: pourquoi ce virus refuse de “coopérer” avec les chercheurs pour la réalisation d’un vaccin.

Dossier en six articles à paraître courant mai:

1 – l’immunologie est née de la bactériologie

2 – retour vers la cellule : on comprend la « réaction immunitaire »

3 – avec les années 90 et le SIDA, retour vers l’immuno-infectiologie.

4 – quelle place pour nos bactéries intégrées ?

5 – la théorie de la continuité / discontinuité

6 – Et maintenant ?

Troisième article : avec les années 90 et le SIDA, retour vers l’immuno-infectiologie

C’est dans les années 90 que les immunologistes font le constat embarrassé des immenses lacunes de leur science. Leur échec cuisant (ils doivent céder la place aux chimistes pour traiter les malades) devant le SIDA est en fait un puissant levier pour acquérir de nouvelles connaissances. Jamais autant d’argent dans la recherche, autant de laboratoires en phase et en concurrence dans le monde entier.

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