Baclofène – Baclocur : les buveurs se rebiffent !

Le Baclofène est un “vieux médicament” toujours utilisé dans sa mission première, celle de myorelaxant. Mais une action secondaire fondamentale s’est avérée, celle de libérer les alcoolo-dépendants de leur dangereux penchant. S’en est suivi une triste manigance où les autorités médicales n’ont une fois de plus, pas le beau rôle …


Le Baclofène est devenu Baclocur … mais à utiliser à quelle dose ?

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Quel est ce nerf vague (pneumogastrique) qui calme tous nos excès ?

Notre organisme est en permanence sous le contrôle d’un système nerveux dit autonome, en ce sens qu’il ne dépend pas de notre volonté en faisant agir un double circuit de sensibilité et d’action, les systèmes ortho et parasympathique. Chez ce dernier, l’essentiel des tâches est le fait d’un nerf unique, quoique très ramifié : le nerf vague. Tous nos organes, toutes nos fonctions, sont sous surveillance et sous l’action régulatrice et apaisante du nerf vague.

Historiquement nommé « pneumogastrique », puisqu’il gère principalement notre respiration et notre digestion, le nerf vague a, on l’a démontré depuis, une action permanente dans les domaines physiologiques suivants :

  • les battements du coeur
  • la pression artérielle
  • le degré de tension des vaisseaux sanguins
  • la production d’urine
  • les sensations de faim et de satiété
  • le séquencement des phases de la digestion
  • la détoxification de l’organisme via le foie
  • le rythme et la puissance de la respiration
  • la production de sueur, de salive, d’urine et de larmes.
  • le clignement des paupières, la tension des pupilles
  • le timbre de la voix
  • l’excitation sexuelle
  • etc ….

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Cent jours plus tard …

Ce blog a démarré le 6 avril de cette année, donc 100 jours se sont écoulés depuis la première ligne publiée. Un petit état des lieux …

C’est plutôt encourageant… Ce blog a pris la suite de la parution papier, un bimestriel de 32 pages, arrêté à son numéro 129 pour cause de coût d’imprimerie et de messagerie …

Pour des petites revues, le papier a fait son temps …

En trois mois, à partir de zéro, ce blog a vu passer 11200 visiteurs, qui ont consulté plus de 26000 pages.

En trois mois, ce blog a publié 115 articles, c’est nettement plus que du temps du papier …

Parmi ces articles, certains (les plus fournis) sont réservés à des abonnés, dont beaucoup sont issus des lecteurs du journal papier. Sur ces dossiers, notre rythme de rédaction est un peu plus lent, mais nous tiendrons le cap des deux dossiers par mois …

S’abonner (un an, 10 euros, à vie 30 euros), c’est accéder à des connaissances supplémentaires, c’est aussi supporter cette initiative de développer des informations pertinentes et décalées par rapport à la science académique.

Jusqu’à présent, j’ai quasiment rédigé seul ces articles. Ce blog est ouvert aux talents et aux compétences scientifiques et pratiques tous azimuths. Avis aux amateurs. Ils peuvent me contacter via cette adresse: gauchet31@gmail.com.

Un prochain point dans trois mois ….

Bien cordialement

Jean-Yves Gauchet

Biologie et médecine quantique #4: l’électron, organisateur des molécules.

Toute la chimie repose sur les échanges ou les mises en commun d’électrons entre les atomes pour former des molécules biologiquement actives. Comme le photon, c’est une entité difficile à apprécier dans le temps comme dans l’espace.

Nuage électronique de l’atome d’hydrogène H

Au sein de la matière, il est une onde-particule qui ressemble bigrement au photon, c’est l’électron. Situé en périphérie des noyaux atomiques, lui aussi n’existe que sous forme d’onde à la présence aléatoire, à la position toute statistique, mais il apparaît spontanément au moment de sa détection. Et dès lors, il devient docile, se laisse localiser, mesurer, et accepte même d’être apprivoisé pour des usages propres à l’homme.

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Biologie et médecine quantique #3: le photon, une vibration d’énergie et d’informations.

Le photon est en fait très mal nommé. On lui a gardé son nom de particule, de “grain de lumière”, nous dirons sa polarité “yang”, alors qu’il n’est qu’exceptionnellement sous cette forme. Uniquement pour flatter nos sens !

Onde ou particule ? Onde et particule ?
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Biologie et médecine quantique #2: la notion d’éther.

Que ce soit par intuition ou bien selon une réflexion, tous les hommes avant nous ont affirmé que notre monde est né de la lumière. Et cela sans synchrotron ni satellite d’observation … Quant à nous, plus notre savoir augmente, et plus nous pouvons intégrer cette idée.

Cette lumière est impalpable, omniprésente, et il va falloir de sacrées circonvolutions de la pensée pour la faire aboutir à de la matière palpable et localisée.

Surtout lorsque, de l’aveu même de nos chercheurs de pointe, nos moyens d’observations “passent à coté” de 73 à 90% de la matière existante. Existante, car néanmoins mesurable en astrophysique pour caractériser les galaxies et l’évolution de l’univers. Mais pas du tout mesurable dans le microcosme, à l’échelle nano …

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Chimiothérapie métronomique: une pratique innovante en oncologie vétérinaire.

Comme chez l’homme, la prévalence du cancer chez les carnivores domestiques a augmenté ces dernières années et l’oncologie vétérinaire se développe de plus en plus face à la demande de soins des propriétaires.

L’objectif de la chimiothérapie conventionnelle est de détruire un maximum de cellules cancéreuses à chaque séance, tout en permettant aux tissus sains de se régénérer entre deux séances. Cette période de repos dure en moyenne 3 semaines.

La chimiothérapie métronomique utilise quant à elle, les mêmes agents cytotoxiques mais Per Os à faible dose et plus fréquemment, à des intervalles variant d’une journée à une semaine. Son objectif principal est de cibler le microenvironnement tumoral essentiel à la survie de la tumeur. Les cellules tumorales sont alors atteintes de manière indirecte.

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