Le Baclofène est un “vieux médicament” toujours utilisé dans sa mission première, celle de myorelaxant. Mais une action secondaire fondamentale s’est avérée, celle de libérer les alcoolo-dépendants de leur dangereux penchant. S’en est suivi une triste manigance où les autorités médicales n’ont une fois de plus, pas le beau rôle …
Notre organisme est en permanence sous le contrôle d’un système nerveux dit autonome, en ce sens qu’il ne dépend pas de notre volonté en faisant agir un double circuit de sensibilité et d’action, les systèmes ortho et parasympathique. Chez ce dernier, l’essentiel des tâches est le fait d’un nerf unique, quoique très ramifié : le nerf vague. Tous nos organes, toutes nos fonctions, sont sous surveillance et sous l’action régulatrice et apaisante du nerf vague.
Historiquement nommé « pneumogastrique »,
puisqu’il gère principalement notre respiration et notre digestion, le nerf
vague a, on l’a démontré depuis, une action permanente dans les domaines
physiologiques suivants :
les battements du coeur
la pression artérielle
le degré de tension des vaisseaux sanguins
la production d’urine
les sensations de faim et de satiété
le séquencement des phases de la digestion
la détoxification de l’organisme via le foie
le rythme et la puissance de la respiration
la production de sueur, de salive, d’urine et de
larmes.
le clignement des paupières, la tension des
pupilles
Ce blog a démarré le 6 avril de cette année, donc 100 jours se sont écoulés depuis la première ligne publiée. Un petit état des lieux …
C’est plutôt encourageant… Ce blog a pris la suite de la parution papier, un bimestriel de 32 pages, arrêté à son numéro 129 pour cause de coût d’imprimerie et de messagerie …
En trois mois, à partir de zéro, ce blog a vu passer 11200 visiteurs, qui ont consulté plus de 26000 pages.
En trois mois, ce blog a publié 115 articles, c’est nettement plus que du temps du papier …
Parmi ces articles, certains (les plus fournis) sont réservés à des abonnés, dont beaucoup sont issus des lecteurs du journal papier. Sur ces dossiers, notre rythme de rédaction est un peu plus lent, mais nous tiendrons le cap des deux dossiers par mois …
S’abonner (un an, 10 euros, à vie 30 euros), c’est accéder à des connaissances supplémentaires, c’est aussi supporter cette initiative de développer des informations pertinentes et décalées par rapport à la science académique.
Jusqu’à présent, j’ai quasiment rédigé seul ces articles. Ce blog est ouvert aux talents et aux compétences scientifiques et pratiques tous azimuths. Avis aux amateurs. Ils peuvent me contacter via cette adresse: gauchet31@gmail.com.
Toute la chimie repose sur les échanges ou les mises en commun d’électrons entre les atomes pour former des molécules biologiquement actives. Comme le photon, c’est une entité difficile à apprécier dans le temps comme dans l’espace.
Au sein de la matière, il est une onde-particule qui ressemble bigrement au photon, c’est l’électron. Situé en périphérie des noyaux atomiques, lui aussi n’existe que sous forme d’onde à la présence aléatoire, à la position toute statistique, mais il apparaît spontanément au moment de sa détection. Et dès lors, il devient docile, se laisse localiser, mesurer, et accepte même d’être apprivoisé pour des usages propres à l’homme.
Le photon est en fait très mal nommé. On lui a gardé son nom de particule, de “grain de lumière”, nous dirons sa polarité “yang”, alors qu’il n’est qu’exceptionnellement sous cette forme. Uniquement pour flatter nos sens !
C’est une sorte de Kevlar, souple et robuste, qu’on peut assembler par impression 3D sur une matrice anatomique. Une avancée pour toutes les pathologies articulaires, y compris rachidiennes.
Que ce soit par intuition ou bien selon une réflexion, tous les hommes avant nous ont affirmé que notre monde est né de la lumière. Et cela sans synchrotron ni satellite d’observation … Quant à nous, plus notre savoir augmente, et plus nous pouvons intégrer cette idée.
Cette
lumière est impalpable, omniprésente, et il va falloir de sacrées
circonvolutions de la pensée pour la faire aboutir à de la matière palpable et
localisée.
Surtout
lorsque, de l’aveu même de nos chercheurs de pointe, nos moyens d’observations
“passent à coté” de 73 à 90% de la matière existante. Existante, car néanmoins
mesurable en astrophysique pour caractériser les galaxies et l’évolution de
l’univers. Mais pas du tout mesurable dans le microcosme, à l’échelle nano …
Comme chez l’homme, la prévalence du cancer chez les carnivores domestiques a augmenté ces dernières années et l’oncologie vétérinaire se développe de plus en plus face à la demande de soins des propriétaires.
L’objectif de la chimiothérapie conventionnelle est de détruire un maximum de cellules cancéreuses à chaque séance, tout en permettant aux tissus sains de se régénérer entre deux séances. Cette période de repos dure en moyenne 3 semaines.
La chimiothérapie métronomique utilise quant à elle, les mêmes agents cytotoxiques mais Per Os à faible dose et plus fréquemment, à des intervalles variant d’une journée à une semaine. Son objectif principal est de cibler le microenvironnement tumoral essentiel à la survie de la tumeur. Les cellules tumorales sont alors atteintes de manière indirecte.
On est assez désemparés par l’avalanche d’informations souvent contradictoires et faussées par des intérêts catégoriels ou économiques . Le tableau ci-dessous me semble bien construit et rassemble à ce jour (le 10 juin…) l’ensemble des savoirs utiles.